Cours de sports. (Libre)

Le premier jour de cours ne s'était pas du tout passé comme prévu. Le réveille de Ondine n'a pas sonné et quand elle s'est réveillée et s'est apperçut combien elle était en retard, Ondine s'était perdue dans les couloirs et a donc raté le cours de musique. Il lui faudra donner des explication à la prof pour éviter tout malentendu et qu'elle ne s'imagine pas qu'elle est séchée les cours car ce n'était pas le cas, ni son intention. Enfin bon, maintenant, c'était le cours de sport. Elle ira voir la prof de musique après. Dans le vestiaire, Ondine attacha ses longs cheveux bleus en queue de cheval et mit un t-shirt à manche courte bleu foncé ainsi qu'un shirt noir et des basckets. Une fois prête, la jeune fille sortit du vestiaire et se rendit sur le terrain de sport pour écouter le long discour du prof. Lorsqu'il termina en demandant si quelqu'un avait des questions, Ondine leva le doigt pour se faire interroger et dit : "Quelle sport pratiquerons-nous au cours de l'année?"

Ondine écouta attentivement ce que disait le professeur de sport, à savoir, Keradan. D'après ce qu'elle comprit, si tout se passe bien, ils continuerons les cours basés sur les combats mais si c'est le contraire, il les remplacerait par des cours de sports basiques qui n'enthousiasmaient pas trop la jeune fille, surtout le foot car elle n'aimait pas du tout ce sport auquel elle n'y comprenait rien du tout. Au final, lorsque le prof demande à ce qu'ils s'échauffent, Ondine s'exécute mais commence d'abord des étirements. Tout en s'étirant les pieds, elle vit Priscilla, sa camarade de chambre qui se trouve être incroyablement jeune malgrés son physique et sa taille, aller voir Keradan lui donner un mot, sûrement sa fameuse dispense. Après avoir gronder les élèves qui s'étaient arrêté à leur tâche, Keradar entre dans le gymnase avec le très grand bébé. Une fois qu'elle eut finit ses étirements, la fille aux cheveux bleus commence son tour de stade en trotinnant et en soufflant correctement comme si elle faisait son jogging afin de ne pas trop s'épuiser pour pouvoir faire le reste de la scéance de cours.

Au bout d'à peine deux tours de terrains, Ondine commençait déjà à sentir de la douleur dans ses jambes et avoir chaud, très chaud, elle se demandait si elle allait finir par voir le bout, si elle allait arriver à faire ce qu'on lui demande. Déjà qu'être dernière de la file de toute la classe, c'était assez humiliant, en plus d'être la seule à ne pas finir son exercice. Mais, cela ne fut pas le cas car Ondine finit son échauffement. Le professeur demande alors à ce que les élève ayant finit rentre dans le gymnase. Ondine regarde ensuite Keradan s'éloigner de l'autre coté du bâtiment. L'air intriguée, la fille aux cheveux bleus regarde Kassarar, un élève qu'elle avait rencontré lorsqu'elle avait fait ses courses scolaires au centre commercial et lui demande : "A ton avis, qu'est-ce que le professeur Rayan est parti faire exactement? Tu n'as pas une petite idée par hazard?"

Après avoir finit son oeuvre, Thomas croisa ses bras l'air satisfait, regardant ainsi le résultat qu'il trouvait bon. Il prit de sa poche une canette de coca cola rouge. Bon, tout le monde demandera à quoi sert cette précision, et bien tout simplement car selon le parfum, les canettes ont dofférentes couleurs et il se trouve que celui de Thomas est le parfum classique, donc, la canette est de couleur rouge. Bref, avant de boire sa boisson préférée, Thomas secoua bien sa canette pour délirer un peu quand il sentit la présence de quelqu'un arriver derrière lui et qu'il entend la voix du prof lui faire une remarque. Thomas montre un sourire un peu provocateur, ayant une nouvelle idée derrière la tête, et dit : "Ho?! Vraiment?! Moi je croayais que c'était l'heure de prendre la douche!"

Il se retourne sans prévenir et ouvrit d'un coup sa canette vers le prof dont la boisson gicla et explosa en pleine dans sa figure. Lorsque l'éclaboussure fut finit, Thoma releva sa canette en affichant un sourire moqueur.

"Santé".

Thomas commence alors boire ce qui lui restait de sa boisson dans la cannette.

Kassarar avoue à ondine qu'il ne sait pas non plus où à put aller le professeur, d'un autre coté, il n'était pas devin, donc on ne pouvait pas lui en vouloir. Soudain, Ondine vit Priscilla partir vers la direction où est parti Keradan en courant et en pleurant. Ondine se demandait ce qui lui arrivait, tout comme Kassarar qui l'avait lui aussi remarqué et avait demandé à Ondine si elle la connaissait. La fille aux cheveux bleus hoche la tête et répond : "Oui, c'est ma camarade, elle s'appelle Priscilla. Quant à ce qu'elle a..."

Ondine voulut répondre qu'elle n'en avait pas la moindre idée mais s'interrompit en entendant des rires. elle détourne son regard de l'endroit d'où venait les rires qui étaient émis par des garçons qui s'étaient postés à l'entrée du gymnase et qui continuaient de se moquer de Priscilla. Ondine montra alors un regard à la fois noir et sévère et dit : "Attends, je pense avoir mon idée là-dessus".

Ondine s'avança d'un pas assuré vers ces gamins qui se croyaient tout permit. Le plus costaud lui barra la route et dit : "Hé! La naine! Où tu crois aller comme ça? Tu penses qu'une salle de gym est faite pour les microbes dans ton genre?!"

Là, c'était le mot de trop, en plus de s'être moquée de sa camarade de chambre, ce mec l'avait ouvertement insultant en utilisant des mots en rapport avec sa petite taille qui la complexe déjà assez. Montrant une veine d'énervement au coin de son front et serrant les poings, elle lui donne un bon coup de poing à la figure en criant : "Tu sais ce qu'elle te dit la naine?!"

Le coup de poing fut tellement violent que le garçon fut propulsé en arrière vers l'intérieur du gymnase où il glissa au sol.

Thomas était vraiment amusé par la tête que venait de faire le prof et buvait son coca en ayant le sourire au lèvres jusqu'à ce que le proffesseur le lui arrache des mains pour écraser la canette entre ses mains. Faisant fit de son regard assassin, Thomas fait la mou et dit : "Hé! Mon coca cola!"

Encore, ça, ça allait, ce qui l'agaça plus, c'est le fait qu'une sorte de géante chialant congèle son oeuvre. Il était même plutôt embêté. Il espérait tant que le prof le montre à la directrice pour le faire virer. Mais bon, il sut comment le récupérer. Lorsque le professeur s'en va avec cette élève pour essayer d'écouter ses problème après avoir demandé à Thomas de ne pas bouger pour en finir avec lui après, Thomas montre un sourire moqueur au coin et se dit : *Pfff! Comme si j'allais l'écouter*.

Thomas regarde le mûr gelé, pointe son index, fait apparaître au bout une petite flamèche et réécrit son message sur la glace avant de souffler sur le bout de son index où la flamèche s'éteind, telle une bougie puis, il sauta à une hauteur impressionnante et grimpa sur le toit. Il avait l'habitude de ce genre d'exercice à force de se faire poursuivre par les flics. Ensuite, il entendit un crit d'une personne pas contente. Il marche sur le toit pour se rendre de l'autre coté et voit une fille aux cheveux bleues envoyer valser un garçon plus loin en un coup de poing. Il fallait avouer que Thomas fut assez surpris par la performance de cette jeune fille. Il fit l'autre garçon essayer d'attaquer la fille par derrière mais Thomas sauta du toit et aterrit juste sur le garçon juste sur son dos alors qu'il était étalé de tout son long au sol, Thomas, lui, avait un pied au sol, un autre sur son dos et les mains dans les poches.

"S'attaquer à une jeune fille par derrière? C'est vraiment très lâche!"

"T'es qui toi?!"

"Mes amis m'appellent Thomas mais tu peux m'appeler Thomas".

"C'est pareil".

Thomas l'écrase encore plus, lui faisant lâcher un cri de douleur.

"C'est à moi de décider ce qui est pareil ou non".

Lorsque Ondine retire vivement sa main avant de dire à Thomas qu'il doit retenir qu'il gaspille sa salive pour rien avec elle car ses beaux discours ne marchaient pas avec elle, le jeune garçon fut surpris. Il ne savait même pas quoi dire tellement il était surpris et la regarda s'éloigner. Il baissa ensuite la tête ainsi que le haut de son corps, les bras pendants, en soupirant et en se disant : *Pourquoi je n'ai jamais de chance avec les filles?*

Il se redresse de suite lorsque Kassarar s'adresse à lui pour lui demander si il aurait vu leur prof car il se serait absenté depuis un moment. Thomas haussa les épaules et répond : "Je sais pas, j'ai bien vu un prof. Après, je ne sais pas si c'est celui dont tu me parles".

Puis, le garçon qui était sous les pieds de Thomas dit : "Hé! Si je dérange! Dites-le de suite! Je suis pas un paillasson!"

Thomas l'écrase alors encore plus, lui faisant à nouveau lâcher un petit cri de douleur.

"Toi, la ferme, t'avais pas à essayer de frapper une fille".

Thomas vit alors le prof qu'il a croisé quelques minutes plus tpot arriver en étant guidé par la fille de la bande. Le garçon montre un sourire narquois et dit : "Et bien! Vous en avez du temps! Les élèves ont le temps de s'entretuer avec vous!"

Lorsque Keradan s'approcha en faisant craquer ses poings et en disant que les élèves ne s'entre-tuent parce qu'ils savent les les tuer, Thomas garda son sourire et dit : "Hou! J'ai peur!"

Le professeur se met à lui donner des conseil mais Thomas se contenta de croiser ses bras en affichant un sourire moqueur, genre à dire : "causes toujours, je m'en fiche". C'est alors que celle qui était allée les cafter se fait envoyer à travers un mûr du gymnase par la géante avant de tenter de l'écraser. C'était sans compter l'intervention de Ondine et de Keradan. Thomas ne put alors s'empêcher de dire : "Qu'est-ce que je disais? Avec vous, les élèves ont le temps de s'entretuer!"

Après avoir demander à Ondine d'évacuer la fille, Keradan demande à Thomas et kassarar d'aller chercher une infirmière. Thomas réplique alors : "Hé! Achetez-vous des lunettes vieux et vous verrez que ma casquette n'est pas rouge mais orange et puis vous n'avez pas dit le mot magique!"

Thomas regarda Kassarar et dit : "Ça te dit une course à l'infirmerie? Mais bien sûr que ça te dit! Allé! Le premier arrivé drague l'infirmière. Ok?! C'est ok".

On pouvait dire que, bien qu'il faisait mine de proposer, le jeune garçon ne laissé pas le choix à Kassarar. La preuve, sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, Thomas se met à courir à toute vitesse vers le bâtiment.

Ondine était encore sur le coup de la surprise et regarda ses mains en tremblant légèrement, n'arrivant pas à croire ce qu'il venait de lui arriver, même ce qu'elle venait de faire. Merlin lui avait bien dit qu'elle avait des pouvoirs mais il ne lui a jamais dit quels étaient ses pouvoirs. Lorsque l'infirmière arriva, Ondine secoua sa tête, se reprend, se relève et recule et laissa place à l'infirmière qui examina la blessé pour voir avec stupéfaction qu'elle n'avait presque rien, du moins, plus rien de grave. Keradan demanda ensuite des explication concernant la bagarre, Ondine baisse la tête et dit : "C'est moi qui ait commencé, un des garçons qui a embêté Priscilla m'a empêché de me rendre à l'intérieur du gymnase en m'insultant. Ça m'a énervé et je l'ai frappé. Son copain a voulut par derrière et Thomas est ensuite intervenu. Voilà. Je sais que j'ai mal fait, que je n'aurais pas dû agire ainsi mais sachant comment ils avaient traité Priscilla, je me suis emportée".

Une fois à l'infirmerie, Thomas et Kassarar allèrent de suite chercher l'infirmière, dommage, elle était trop vieille pour la draguer et pas vraiment terrible pgysiquement non plus, bon, tant pis. Quand Kassarar fit part de la situation à l'infirmière, celle-ci les accompagne de suite jusqu'au gymnase. Une fois sur place, alors qu'ils étaient arrivés, l'infirmière dit que la fille n'avait aucune trace de griffure ou de déchirure dans la peau alors qu'il y a du sang sur le sol. Keradan lui dit qu'elle saignait pourtant beaucoup, Thomas croise ses bras, ferme les yeux, hoche la tête et répond : "Je confirme, on a même cru qu'elle risquait d'avoir une hémoragie".

Le femme semblait les croire. Après que l'infirmière ait donné son diagnostique, Keradan félicite les élèves de leur aide avant de demander des explications sur cette bagarre. Ondine raconta et avoua tout ce qui s'était passé et lorsqu'elle en vient au fait que Thomas est intervenu, il réouvre ses yeux et ne put s'empêcher de dire en montrant un petit sourire au coin de ses lèvres : "Je n'allais tout de même pas laisser ce type frapper une jolie fille".

Thomas et Kassarar interviennent dans la conversation pour soutenir Ondine, ce qui la rassura assez, elle fut encore plus rassurée quand le professeur décide de passer fermer les yeux sur leur bagarre mais lorsqu'il lui fait des recommandations sur ce qu'elle devrait faire la prochaine fois qu'on l'insulte, Ondine se dit : *Bien sûr, comme si j'allais me la fermer devant ces types et aller dire à maman que la poule a fait caca. Non franchement*.

Par contre, bien que Keradan ferme les yeux sur la bagarre, il ne fait pas de même au sujet d'un tag qu'aurait fait Thomas, il lui donne même une heure de colle mais cela étonnerait la jeune fille que cette punition calme ses ardeurs. Après que le professeur de sport ait donné son verdict, Ondine entra dans la salle de sport avec les autres élèves et écouta attentivement les consignes de Keradan une fois qu'il eut fini, Ondine n'eut le temps de prendre une arme car tout les élèves s'étaient jetés dessus et elle n'osait pas bousculer et préférait attendre qu'ils s'écartent. Une fois qu'ils partirent chacun de leur coté, Ondine prit la seule arme qui restait qui est un bâton de combat. Elle essaye de faire quelques mouvements offencives avec, mais à la place, sans le faire exprès, elle se tape la tête avec, elle se frotte alors le dessus du crâne en fesant une grimace de douleur.

Ondine se frotta la tête en faisant la mou car on ne pouvait pas vraiment dire que ce coup qu'elle s'était faite sur la tête lui avait fait du bien, mais bon, il n'avait pas été assez violent pour luidonner une bosse, ce qui n'était pas plus mal. La jeune fillevit ensuite Keradan laisser Priscilla toute seule pour s'approcher d'elle. Lorsqu'il lui fit un commentaire, se sentant un peu offencée bien qu'elle essayait tant bien que mal à le dissimuler sur son visage, elle dit : "Ben, c'est pas ma faute, j'ai voulu attaquer avec un bout et l'autre m'est tombé sur le crâne".

Le professeur de sport prit à son tour un bâton et commença à faire des mouvements tout en lui donnant des explications sur le maniment de cette arme qui ne devrait pas être sous-estimait selon lui car elle peut être aussi redoutable d'une épée ou une lance si elle est bien utilisée. Lorsqu'il finit en disant qu'elle peut asommer son utilisateur si celui-ci ne faisait pas attention, la fille aux cheveux bleus se frotte à nouveau la tête à l'endroit où elle s'est prit le coup de bâton.

"Ça, j'avais déjà remarqué".

Ondine essaya d'imiter les mouvement du professeur avec son propre bâton mais il va sans dire que ses mouvements à elle était un peu plus hésitants.

Bon, Kassarar n'accepta pas le petit défi de Thomas et préférait attendre le moment des duels officiels, et ben ça posait pas de problème pour lui, comme ça, tout le monde le verra écraser ce type, enfin, de manière figuré bien sûr, le jeune homme était juste sûr de sa victoire. C'était dans sa personnalité, un mec rebel, immature, spur de lui, dragueur, cascou même et il se fichait totalement des ennuis qu'il pouvait s'attirer avec un tel comportement. Il avait bien faillit aller en prison et il était venu dans cette académie justement pour éviter d'y aller mais il ne comptait certainement pas rester là. Les études de l'intéressaient pas du tout, il aimait trop sa liberté pour rester coincé, tranquillement assis, dans une salle de classe, à écouter des trucs qu'il est sensé apprendre qu'il trouvait totalement inutils. Bref, Thomas commençait à enchaîner des mouvements avec son katana. Il se concentre alors, il monte légèrement ses mains avec ses poignets pour que le bâton soit tendu devant lui, il remonte ses mains juste devant ses yeux rouges, tend le bâton sur le coté avant de le faire glisser sur le coté avant de faire tourner son poignet et de tendre son bras devant lui comme si il transperçait un ennemi, il recommence alors les mêmes gestes plus rapidement et encore et encore, chaque fois qu'il recommençait il était de plus en plus rapide. Au bout d'un moment, il s'arrêta et alla voir le prof en évitant de justesse un coup de bâton qu'il faillit se prendre à la figure en se penchant sur le coté avant de se redresser en disant : "Dites, c'est quand qu'on commencera les duels?"