nouveau proprio, nouvelle rencontre (pv Cecilia)

HS : Voilà... désolée il a été un peu vite fait, donc faut pas t'étonner si tu vois des fautes, j'étais un petit peu préssée en le faisant xD

Cécilia n'était pas comme invisible à l'oeil, mais invisible tout court, car elle avait activé son pouvoir d'invisibilité et elle était venue ici incognito. A cause de tout ce qui se passait, il fallait qu'elle ait se détendre quelque part. Ne voulant pas se faire trop remarquer, elle avait revêtut sur elle, un grand manteau noir avec une capuche. Sachant que ça ne servirait à rien de rester comme ça longtemps, la demoiselle désactiva son pouvoir et les gens purent la voir.

*Bravo Cécilia très remarqué comme apparition*

Pensa la jeune femme en sachant que les gens la regardaient bizarrement, enfin c'était plutôt à cause de son apparition qu'ils la regardaient. La directrice regarda un peu partout pour voir ce qui se passait autour. Il n'était pas trop tard et tout avait l'air de bien aller. Elle remarqua alors le beau barman

*Wow, belle pièce*

Pensa encore une fois la demoiselle en s'approchant du comptoire. Elle regarda le barman et elle lui sourit en ayant dans le coeur aucunes haines, car elle n'en avait pour le moment aucunes.

"Bonjours jeune homme. Mettez-moi une chope de bière s'il vous plait"

Bah oui, ça fait un peu bizarre que quelqu'un lui parle comme ça, mais bon la directrice avait quand même sa dignité. Elle parti ensuite s'asseoir dans un coin de la pièce en ayant pas peur des gars qui avaient l'air louches et qui étaient assis dans le bar.

"Et bien, disons que je suis assez connue, donc si veux avoir la paix, faut que je prenne mes précautions, mais bon faut aussi dire qu'à un moment donné, il pleuvait donc, j'ai bien fait de le mettre"

Elle lui sourit et elle enleva son capuchon et on pu voir alors sa tête. La demoiselle regarda les gens qui la regardaient encore plus bizarrement.

"Pour le plan drague, ce n'est pas grave, je comprend. Je m'appelle Cécilia Magister et vous ?"

Bah oui, elle n'allait quand même pas lui donenr un faux nom alors qu'un bon nombre de gens la connaissaient, enfin disons que c'était plus l'orphelinat qui était connu. Elle prit la chope qu'il lui avait apportée et elle en bu une gorgée et après avoir reposé la chope, elle entendit comme des chuchottements et elle souria légèrement, parce qu'elle était sur que ça se passerait comme ça, mais bon elle ne pouvait pas se cacher longtemps.

"Et vous, vous êtes ? Il me semble que votre visage aussi me dit quelque chose, mais je n'en suis pas sur"

Dit la demoiselle en étant pas sur de son coup, car elle ne se rappellait plus trop de ce jeune homme, enfin si elle l'avait connu.

Son enthousiasme faisait chaud au coeur et il avait l'air de se souvenir d'elle comme si ils s'étaient connus hier. Pourtant, la demoiselle eut comme un choc lorsqu'il lui parla de son oncle. Cet homme bienveillant qu'elle aimait tant et dont elle prenait pour son père, car il savait toujours l'écouter et la consoler lorsqu'il lui arrivait de pleurer.

Cela lui avait fait mal quand on lui avait appris qu'il était mort. La miss n'avait pas réussi à comprendre qu'il n'était plus là et à présent qu'il lui demandait ce qu'il était devenu, la jeune femme eut comme une boule au milieu de la gorge, mais elle ne le fit pas sentir.

Après un moment d'hésitation, elle décida de lui dire la vérité, même si elle ne savait comment lui dire, elle allait quand même essayer de trouver les mots pour lui expliquer que le vieil homme un peu rustre, mais gentil n'était plus de ce monde.

"Et bien... à présent, il va bien. Pour sa facture, je vais la payer à sa place, dis-moi juste combien je te dois"

Elle baissa la tête et avait un peu honte d'elle, car elle n'avait quand même pas réussi à lui dire ce qui s'était passé. La jeune femme prit une grande inspiration et elle le regarda d'un regard profond.

"A présent, il va bien, car il est mort quand j'avais à peu prêt trente ans"

Puis, elle eut comme un flash. Elle se revu lorsqu'elle avait 14 ans et que son oncle l'avait emenée avec lui. Elle se revu en train de regarder ce petit garçon en train de marcher en s'appuyant sur le bar. La jeune femme se leva alors d'un coup de sa chaise et elle s'approcha du barman. Cécilia mit ses mains autour du cou du jeune homme et elle lui fit la bise. Lorsqu'elle eut fini, elle le lâcha et alla se rasseoir à sa place.

"Bien sur que je me souviens de toi ! Je me souviens aussi que je te devais un bisous. Je ne sais plus ce que tu avais fait pour le mériter, mais je me suis souvenue qu'il fallait que je le fasse. Je me souviens qu'un s'est amusé un petit peu ensemble. A l'écoque, tu n'avais pas de muscle et tu étais petit. Par contre, au niveau de la beauté, tu n'as pas changé"

La jeune femme ria légèrement en mettant sa main devant sa bouche en se souvenant de quelque petits bouts de souvenirs qu'elle avait de lui.

Les gens les regardaient comme si ils étaient en train de voir des E:T en voyant les deux compères autour d'une boite à chaussure.

"Euh.... tu es sur de vouloir les regarder ici ? Les gens se posent des questions, j'ai presque l'impression d'être une dangereuse gangster en train d'examiner des diamants cachés dans une boite à chaussure"

Eh oui, elle n'avait vraiment pas changé, toujours fidèle à elle-même en faisant des répliques cimplètement stupides.

"Par contre, je dois dire que ça ne me surprend pas tant que ça que tu ais fini comme barman, car déjà, quand on était petit, tu aimais beaucoup ce genre d'endroits"

La directrice prit une photo au hasard et avant de la regarder, elle regarda son ancien compagnon de jeu et eut un petit sourire aux lèvres avant de lui annoncer la nouvelle.

"Tu sais, mon oncle m'a légué une bonne partie de sa fortune et avec, j'ai pu construire un orphelinat et une école. Je suis donc à présent directrice et je dois dire que j'aime beaucoup ce que j'ai fait. J'y réceuille des gamins avec ou sans pouvoirs et ils recoivent une bonne éducation. J'ai faillis me marier à un imbécile, mais j'ai quand même accouché d'une petite fille qui à présent cinq ans et elle s'appelle Melina et j'ai un fils adoptif qui s'appelle Raito et il a 14 ans. Voilà, je crois que je t'ai tout dit sur ce qui c'est passé en ton absence... ah en faite, le petit Akito se porte bien et il est toujours aussi fou qu'avant, il aimerait même détruire ce que j'ai construit, mais bon ce n'est pas grave. Si jamais tu veux voir la tête de mes enfants, je peux te les montrer volontier"

Puis, Cécilia regarda la photo qu'elle avait prise. Dessus, la miss était attachée à moitiée nue à un arbre et le jeune homme était habillé comme un bandit des temps anciens.

"Ah... je me souviens de ce moment... il n'était pas très glorieux, surtout pour moi"

Dit la jeune femme en posant la photo sur la table et en ayant toujours au coin de ses lèvres, ce même sourire qui variait entre la provocation et la joie.

"que veut tu je me sent comme chez moi dans se genre d'endroit donc j'ai fini par en faire un chez moi !"

il dit ça en souriant pour répondre a la phrase de Cécilia il la trouvait de plus en plus belle depuis qu'il était tout petit il a toujours ressentit ça pour elle mais il 'avait jamais avoué et pourtant a l'époque il se disait tout mais c'était du passé et le petit marc ne pouvait divulgué ce qu'il avait provoqué et vu pendant son absence, il l'écoutait parlait de sa vie et il buvait chaque parole et fut surpris d'entendre qu'elle avait des gosse ce qui le fit rire :

« de jas avant tu avait du mal a t'occuper de toi je te vois mal t'occuper d'enfant »

il se moquer un peu d'elle et quand elle lui montra la fameuse photo il explosa de rire :

« a c'était la belle époque maintenant on est des gens a responsabilité d'ailleurs le devoir m'appelle »

il se leva et se remit derrière le bars quand 5 homme entra dans le bar et lui commanda des bières ce qui leur servit!

Avant qu'il ne parte, elle eut tout juste le temps de lui donner l'expication.

"La petite, elle est née par accident et le gosse, c'est aussi un accident, ses parents qui faisaient partie de ma sois-disante famille sont morts. Et pis, il a déjà fait une crise et y a que moi qui ais réussi à l'arrêter, je ne sais pas comment, mais j'ai su qu'il avait besoin de moi, alors c'est pour cela que je l'ai adopté"

Lorsque les hommes rentrèrent. la demoiselle remit sa capuche et elle rengea la photo dans la boite. Ces hommes, elles pouvaient les reconnaîtrent entre mille... enfin c'était à cause de leurs uniformes... ces hommes... ils appartenaient à Akito.

*Et moi qui pensait être tranquille... en plus, il y a deux de ses hommes de mains dans l'équile. Bon ils ne sont pas tous puissants, faut quand même que je reste tranquille, ils ne ferront rien puisqu'ils ne remarqueront rien, ils sont trop bête pour arriver à réflechir tout seuls... enfin j'espère*

Pensa la demoiselle en buvant sa bière. Elle se leva et baissa la tête puis prit la boite à chaussure. Les hommes, trop occupés à boirent et à rire comme des fous ne la remarquèrent pas passer. La miss posa ensuite la boite sur le comptoire

"Pour le moment, tu peux la garder, elle seront plus en sécurités chez toi"

Dit-elle en ayant fait devenir sa voix un peu plus grave et ceux qui ne regardaient pas purent presque croirent que c'était un homme qui parlait, car même si elle se consacrait plus aux enfants, elle savait toujours jouer la comédie quand il le fallait.

Homme 1 : Ne vous inquiètez pas, on l'auras un jour, on l'aura !

Homme 2 : M'ouais bah faudrait pas trop que les jours trainent, parce que sinon, Akito va râler

Homme 3 : Mais t'inquiète pas, il va pas râler puisque pour l'instant on fait ce qu'il nous dit de faire.

Homme 4 : Faudrait quand même arriver à détruire cet orphelinat

Homme 5 : Ou bien enlever la directrice ou le sous-directeur pour les faire chanter... ainsi Akito pourrait faire ce qu'il voudrait

Homme 1 : Baka c'est c'est ce qui a été prévu, faut un peu te déboucher les oreilles... en tout cas, Girugamesh à l'air de s'en sortir comme un chef

Homme 2 : M'ouais... il n'en a pas que l'air, mais ne vous inquiètez pas les gars, on arrivera à arriver à nos but

Homme 3 : A notre prochaine réussite !

Dit-il en levant son verre et les autres en firent de même. Ils rirent un bon coup et ils burent tandis que la princesse flambloyante qu'était Cécilia en avait profité pour prendre sa chope de bière et d'aller se cacher derrière le comptoire. Elle était assise et ses jambes étaient recroquevillées contre son corps et comme elle était assise, ils ne pouvaient pas la voir. Marc n'avait pas l'air de l'avoir remarquée non plus, car elle avait été très silencieuse et aussi, elle avait utilisé son pouvoir d'invisiblité et elle était redevenue visible quand elle avait été derrière le comptoire du bar. Enfin bref, avant qu'il fasse une maladresse, elle avait tiré un petit peu sur son pantalon pour lui dire qu'elle était là. Elle fit aussi un petit signe pour lui dire de se taire et de ne rien dire. Tout cela était fait avec un grand sourire.

marc avait remarqué ses homme et surtout il savait qui ils étaient car akito était un homme très connu et ses homme très reconnaissable et rien quand entendant le conversation il comprit pourquoi la miss Cécilia se cachait déjà qui les aimait pas car a chaque fois il ne le respecter pas alors que tout les autres qui était des tueur avait un certain respect pour lui et lui demander gentiment leur commande et pas en le surnomment de non d'oiseau mais cette fois ils allait pas les laissez faire il prit un morceau papier et griffonna dessus :

«va dans l'arrière salle il y a des camera tu aura une vue d'ensemble du bar et t'inquiète pas pour ses hommes je m'en débarrasse vite fais bien fait! »

il chiffonna le papier pas content et le jeta par terre comme si il avait rater quelque chose mais il espérer que Cécilia est compris que c'était pour elle le papier. Après il alla voir les homme d'akito et leur dite :

« et aux faite les gorilles il faudra payer votre ardoise car sinon je serais forcer de vous jeter dehors! »

un des homme se leva avec un aire méchant il faisait deux fois la taille de marc mais il s'en fichait il avait une arme imparable contre ses abruties,

homme 1« pour qui te prend tu minus, on es les homme d'akito et nous faisons ce qu'on veux ! »

« ben je me prend pour le patron de se bar et je vous demande de partir sinon je serait obliger d'utiliser les grand moyen! »

l'homme essaye de le frapper mais soudain au dernier moment marc arrêta le coup et aspira toute la haine de l'homme le rendant faible et sans motivation,et propulsa l'homme avec une forte décharge d'éclair de haine a travers la porte encore ouverte, il se retourna vers un client et et contrôla l'esprit de l'homme grasse a sa haine et dit :

« j'efface ton ardoise si tu te débarrasse de ses abruti! »

l'homme se leva et avec ses homme de main attrapa les mec et les jeta dehors et les homme d'akito se mit a courir, quand a marc il retourna a son comptoir.

Cécilia senti quelque chose lui tomber dessus. Elle prit ce quelque chose et elle pu voir que c'était un bout de papier. Elle le déplia et elle lu le mot. Elle hocha la tête et parti à quatre pattes... enfin trois, parce que la quatrième tenait la chope de bière. Lorsqu'elle fut arrivée à destination, elle prit ses aises et se mit à boire le reste de sa chope en regardant le spéctacle tout en devant se retenir de rire.

Lorsque les hommes furent éjectés dehors, la miss revint comme elle était venue et au lieu de se relever, elle posa la chope de bière. Avec ses deux mains, elle commença à remonter la chausette du jeune homme qui était tombée. Avec un petit sourire malicieux, elle commença à lui refaire son lacet de chaussure qui était défait. Ensuite, comme, la miss mit ses bras autour de la jambe du jeune homme et posa sa tête contre.

"Je t'ai, je te lâche plus"

Elle avait beau avoir un job à responsabilité, mais il lui arrivait de temps en temps d'être un peu gamine, mais bon c'était son ancien camarade de jeu, donc c'était un peu normal qu'elle avait envie de le taquiner un peu. Elle décida quand même de le lâcher et se releva toujours avec un grand sourire aux lèvres.

"Merci beaucoup pour le coup de main ! Je vois que même en grandissant tu n'as pas changé, tu es toujours prêt à me défendre et moi, j'arrive encore à te causer des ennuis. Je suis désolée pour ce qui vient d'arriver.é Comment je peux te remercier ?"

Lui demanda la jeune femme en étant très sérieuse et sincère à la fois. Puis, elle se tourna vers les clients qui la regardèrent l'air surpris

"Bah quoi ?"

Demanda la jeune femme d'un ton innocent. Puis, elle mit sa main sur sa tête et elle vit que son capuchon n'était plus là.

"Je comprend à présent... bah pas grave..."

Dit la directrice en haussant les épaules, car au final, cela ne lui servait presque plus à rien de cacher sa véritable identité, car avec Marc à ses côtés, elle se sentait en sécurité.

Cécilia le laissa faire en se rappellant la bonne époque où quand elle était petite, elle s'agitait comme une demeurée pour tenter de reprendre ce qui lui appartenait lorsque son ami pour l'embêter lui piquait ses affaires. Elle le regarda ensuite poser son doigt vers sa joue et l'écouta parler et elle ne pu s'empêcher d'emettre un leger rire.

"Dommage que tu n'aies pas mon âge, je te l'aurais fait volontier ailleurs ton baiser, mais soit je ne dis pas non, t'es trop mignion pour que je refuse et pis, tu viens de m'aider, donc ça serait bête de ma part de ne pas le faire"

La jeune femme prit son ami par la taille et elle déposa un baiser sur sa joue. Il dura un petit moment et pis finalement, la miss décida d'enlever sa bouche.

"J'ai pas pu m'empêcher de le laisser durer. Mais si tu veux que je te remercie autrement, tu peux me le dire, je suis tout ouìe"

Cécilia lui fit un grand sourire, mais elle n'avait pas envie de le lâcher tout de suite. Pour elle, il était comme son petit frère et sa présence lui faisait du bien, mais quand elle avait parlé tout à l'heure d'un vrai baiser, elle plaisantait, car pour respect pour lui, elle ne pourrait se le permettre. Elle attendit encore quelques minutes puis, elle le lâcha pour se recoiffer.

Cécilia était contente qu'il lui dise cela, car il n'était pas compliqué et venant de sa part, c'était très honorable.

"D'acccord, je vais essayer"

Après avoir dit cela, Cécilia réussi à cogner sa main contre le comptoir, car elle n'y avait pas fait attention, elle recula, mais elle n'avait pas remarqué que quelques gouttes de sa chope étaient tombées tout à l'heure à cet endroit lorsqu'elle l'avait transportée, et donc, son pied parti en arrière et la miss se rattrapa à Marc pour tenter de ne pas tomber.

Malheureusement, il ne s'y attendait pas, alors, il tomba à la renverse sous le poids de la demoiselle. Heureusemetn que le comptoir était assez grand parce que sinon, il se serait assomé, mais au lieu de ça, il du juste se faire un peu mal au dos, mais en étant barman, il devait y être habitué à ce genre de maux, donc il devrait supporter le coup, enfin c'était ce que pensait la miss en se retrouvant sur le jeune homme, dans une position très... gênante.

"A présent, tu as une bonne raison de crier..."

Dit-elle une fois a gêne passée. Elle s'était relevée pour ne pas être trop lourde et à présent, elle àtait à califourchon sur son ami d'enfance. Cécilia était encore un peu choquée par ce qui venait de se passer, car il pu voir des tâches rouges apparaîtres sur le visage de la flambloyante jeune femme.

"Tu vois, je fais ce que tu me dis de faire. Je dois quand même te dire que je suis désolée, ce n'était pas voulu"

Elle avait dit cela avec sincèrité, tandis que les clients devaient se poser des questions, car ils avaient entendu les bruits qu'ils avaient fait. Ils pouvaient croire que le barman essayait de violer la demoiselle, ou croire ce qu'ils voudraient, la miss s'en fichait, car elle commença à avoir un fou rire qui dura quelques minutes avant de se calmer, car elle avait vu la tête qu'avait fait son camarade et c'était en y repensant qu'elle riait comme une tarée. Quand elle se fut calmée, elle le regarda dans les yeux avec un petit sourire malicieux au coins de ses lèvres.

"A présent que tu es à ma merci, je vais pouvoir te torturer"

Ce n'était pas ce qu'elle allait faire, mais elle avait eut envie de le dire, juste pour l'embêter. A présent, savoir si elle allait s'enlever ou pas, ça c'était une autre question. Pour l'instant, elle restait dans cette position, enfin jusqu'à ce que son ami décide de l'éjecter, car il pouvait le faire sans problèmes.

il eu très mal derrière la tête elle venait de percuté le sol plutôt violemment mais il faisait semblant de pas souffrir pour pas qu'elle s'inquiète trop il ne disait rien et se contentait que de la regarder le fait de l'avoir aussi prêt de lui donner une sensation fort agréable qu'il ne serait expliquer, dans sa vie il contrôlait la haine il contrôler sa haine mais la il ne se contrôlait plus rien c'était comme si se dol de contacte avait déclencher quelque chose en lui d'incontrôlable et toujours allonger part terres il dit :

« Julie occupe toi du bar jusqu'à la fermeture! »

il tourna la tête vers Cécilia et dit :

"je vais te montré un truc "

soudain les deux personne passa a travers le sol pour atterrir dans une caverne ou une lumière l'illuminait telle les lumière du soleil et il y avait un magnifique champ de fleur marc lui designa le champ et dit :

« je te présente mon jardin secret! »

Lorsqu'ils traversèrent le sol, Cécilia cria un bon coup, car elle ne s'était pas attendue à cela. La miss eut quand même un peu mal lorsqu'ils arrivèrent à destination. La jeune femme, avant qu'il ne lui montre son jardin secret, avait vite enlevé son manteau, donc à présent qu'ils étaient là, la miss avait l'impression de ressembler à un ange à cause de la lumière et du champ de fleur. Cécilia mit ses lunettes qui devaient sûrement être incassables, car elles ne s'étaient pas cassés durant leur passage de la taverne à la caverne.

"C'EST MAGNIFIQUE !!!!!!"

Ne pu s'empêcher de s'exclamer la demoiselle après avoir vu toutes ces fleurs. Si c'était pour lui faire plaisir, il avait touché le jackpot, car elle aimait beaucoup les fleurs. La jeune femme était vraiment très heureuse parmi ce champ et elle s'y sentait très à l'aise. Elle s'y agenouilla et elle se mit à renifler leurs parfums

"Comment es-tu arrivé à un résultat aussi concluant juste avec la lumière ?"

Demanda la demoiselle en voulant savoir son petit secret pour avoir réussi à faire pousser autant de fleurs.

"J'ai l'impression de me sentir comme chez moi... plante-moi et arrose-moi et on verra bien si je pousse"

Dit Cécilia en plaisantant un petit peu. Puis, elle se mit à regarder le barman en étant pendue à ses lèvres jusqu'à ce qu'il réponde à ses questions.

Cécilia devint très sérieuse en entendant la fin de ces paroles. Ainsi elle comprenait à présent pourquoi ils les avaient plantées là.

"C'est très mignon comme nom pour une fleur. Sinon, je comprend. Ne t'en fais pas, je serais une vrai tombe. Je suis une championne pour les maladresses, mais je suis une championne aussi pour garder les secrets, alors ne t'en fais pas, personne n'en entendra parler"

Puis, la jeune femme caressa une fleur en passant sa main dessus.

"Je sais avoir ces critères pour s'occuper des fleurs, mais je dois dire que je préfére m'occuper des enfants. Quand tu es seules et que tu n'arrives pas à oublier des personnes dont tu aimais beaucoup et bien, ça fait du bien de voir des gosses... en tout cas moi, ça m'a beaucoup aidée à ne pas sombrer"

Eh oui, c'était ça son petit secret qui lui avait permit de surmonter son amour interdit, le décès de son oncle. le rejet du monde et encore pleins de choses que Cécilia avaient subies. En lui disant ça, elle l'avait regardé avec un regard profond. Ensuite, elle lui fit un doux sourire et elle se remit à regarder les fleurs avec amours.

"Tu peux aussi venir si tu le veux... mais ne t'en fais pas pour tes fleurs, je fais attention"

le prévint la demoiselle lorsqu'elle se trouva une petite place pour changer de position en s'assayant au milieu des fleurs précieuses et très belles qu'avaient plantées Marc.

"Comment voudrais-tu que je changes ? Je suis comme je suis, je ne peux pas changer"

Répondit la demoiselle avec un petit sourire. Elle le regarda assis auprès d'elle et ensuite, la miss détourna le regard.

"Tu sais, toi non plus tu n'as pas changé. Tu es toujours le même. Tu dis que tu fais des efforts, mais ce n'est pas grave si tu es un peu fou, je t'aime comme tu es"

Elle repensa alors au temps ou son coeur battait encore d'un amour fort, mais hésitant, car il ne savait à l'époque pas qui choisir entre Akito et Marc. La directrice avait choisit Akito, mais à présent qu'il était parti, son coeur commençait à retourner vers Marc. La jeune femme laissa glisser gentiment sa main vers la jambe de son ami. Ensuite, la miss détourna sa tête pour la mettre sur l'épaule du jeune homme. Sentant la peau chaude du barman fou, la miss frissona légèrement. Ce contact lui faisait tant de bien et tant de mal à la fois, car des souvenirs lui revinent en tête.

"Tu dis que personne ne t'apprécies ? C'est bizarre. En tout cas, moi je t'aime beaucoup"

Ce n'était pas une déclaration, mais seulement ce qu'elle avait sur le coeur que Cécilia venait de prononcer.

Cécilia inquiète, se leva d'un bond pour aller le rejoindre. Elle le vu prendre des pillules et se poser des questions. Il se recroquevilla sur lui-même et la miss ne pu s'empêcher de s'accroupir pour mettre une maine sur son dos et le frotter gentiment.

"Marc ! Que-ce qui ce passe ? Tu n'es pas bien ? Il faut que j'appelle l'ambulance ? S'il te plait Marc, reste encore en vie !"

Ne pu s'empêcher de dire la demoiselle en ayant vraiment peur pour son ami. Elle croyait qu'il allait mourir, mais peut-être que ce n'était pas le cas, mais bon cela ne l'empêchait pas d'être très inquiète pour le jeune homme.

*Je ne pensais pas que je m'étais tant attachée à lui... voilà que je le retrouve et je m'inquiète... rah la la je ne me souviens même plus si il avait déjà ça quand on se connaissait*

Pensa la miss en étant triste pour son ami, car il lui faisait de la peine à cause qu'il avait vraiment l'air mal en point et qu'elle ne pouvait rien faire pour l'aider.

Cécilia s'assit alors sur le banc et elle le regarde lui aussi dans les yeux tandis qu'il lui parlait. Ce qu'il lui disait lui faisait un choc et son coeur battait à la chamade. La jeune femme devait se retenir de pleurer, mais soudains, la plupart des moments qu'elle avait passés avec lui, lui revenaient en mémoire et cela fut la goutte d'eau qui déborda du vase. La jeune femme se jeta sur lui et elle pleura à chaudes larmes dans ses bras.

"Non c'est impossible ! Pourquoi... pourquoi ça a du t'arriver ? Pourquoi ? Toi qui es si gentil, si.. magnifique... t'a pas le droit de mourir !!!!"

Et elle se remit à pleurer de plus belle. La miss ne supportait pas que son ami puisse disparaître à cause d'une maladie rare. Bien qu'elle ne lui avait pas dit souvent, la jeune femme l'aimait souvent. C'était donc dans ce genre de situations qu'on se rendait compte que la demoiselle était très sensible. Lorsqu'elle se fut calmée, la miss pu enfin reparler.

"Excuse-moi... ça m'a fait un gros choc de savoir la vérité. Je dois dire que j'ai eus beaucoup de mal à choisir entre vous deux, mais je vois à présent que je n'aurais pas du vous ouvrir mon coeur, car Akito est distant et veut ma peau et toi, tu vas disparaître à cause de cette p*** de maladie !"

ça faisait bizarre de l'entendre jurer, car elle le faisait très rarement et quand elle sortait un juron, c'était vraiment pour une situation très difficile à gérer. En l'occurance, c'était une situation très difficile à gérer, mais la miss allait y faire face. Elle était encore boulversée par la nouvelle et bien qu'elle se dise qu'il fallait qu'elle se ressaisise, elle n'y arrivait pas.

"Je perd pas espoir, tu sais je suis quelqu'un de confient fasse a la maladie, car ça fait 20 ans que le médecin dit que je risque de crevé d'un moment a l'autre alors je peu encore attendre!"

Il dit ça avec un petit sourire faible et il dit :

« Excuse moi Cecilia mais la j’ai besoin de repos donc je vais te raccompagné a la porte ! »

Ils marchèrent tout les deux vers un escalier en colimasson qu’ils montèrent jusqu'à qu’ils arrivent a un mur, il prit le bras de Cecilia avec douceur et traversa le mure pour atterrir dans le bar qui était maintenant vide car il était 2 heure du matin le temps était passé si vite.

« voila maintenant tu es tranquille tu ne risque pas de rencontré de problème ! »

il deposa un dou baiser sur ses levre et entra dans le mur ne voulant pas recevoir sa reaction.

HS : Je trouve que cette chanson va bien avec nos derniers posts : https://www.youtube.com/watch?v=le-r76ubXkE

Cécilia se laissa reconduire et durant tout le trajet, elle ne dit rien. Elle fut quand même très surprise de voir que le système était aussi bien fait et que personne à part eux deux connaissait comment il fonctionnait. Arrivé au bar, la jeune femme fut surprise de ce baiser, mais pas si mécontente que ça finalement

"Baka"

Ne pu s'empêcher de dire la directrice, car il avait vite disparut et elle n'avait pas pu lui dire au revoir. C'était son ami, pour la vie et elle espèrait qu'il ne mourait pas de si tôt. Mais en faite, n'éprouvait-elle pas encore quelques sentiments pour le jeune homme ? Un petit peu, mais c'était très abstrait, car son coeur se tournait vers trois terriens. La miss resta encore là, comme un piquet et elle regardait droit devant elle.

Au bout de quelques minutes, elle su qu'il ne reviendrait pas alors, elle soupira et elle alla vers le comptoire pour y glisser à l'endroit qu'utilisait Marc pour ranger les verres, quelques billets. Lorsque ce fut fait, elle se dirigea vers la sortie en ayant un pincement au coeur

*ça me rend triste de le laisser tout seul, mais bon il est fatigué, donc je vais y aller moi aussi*

La miss prit son manteau, le remit et elle parti vers la sortie en étant contente d'avoir pu le revoir, mais triste de le quitter, car à présent, elle avait peur de le perdre. Ce fut avec ce sentiment très bizarre que la miss ouvrit la porte du bar pour la passer et ensuite la refermer pour partir en direction de l'orphelinat.