Poursuite des recherches

Après que Lio fasse part de tous les problèmes qui ont eut lieu lors du repas, la jeune fille demande à Haneko comment s'était passé le repas. La jeune fille décide alors de déchirer la note et de ne pas les faire payer. Haneko semblait inquiète, mais la jeune fille les rassure. Lio dit alors : "Je vous remercie, mademoiselle. Vous êtes bien aimable, votre patron devrait en prendre de la graine".

Elle leur demande alors un service qui est de poster une lettre car elle n'a pas le temps avec son travail. Lio dit alors : "Ce n'est pas mon genre de faire le facteur, mais je pense que je peux faire une exception en vu de votre amabilité. Je vous propose même de la livrer au destinataire moi-même pour être certain que ça arrive à bonne destination".

Mina n'avait pu s'empêcher de rire un petit peu en entendant la réflexion de Lio. Le scrutant avec un regard bienveillant, tout comme le duo d'ami, elle eut l'air d'autant plus ravie lorsque le jeune homme ce proposa de livrer lui-même la lettre, ce qui irradia de bonheur la serveuse.

- Oh merci ! C'est très gentil !

- Mina !!! Tu en es où avec la table 15 ?! Tu as pu règler le problème ? Ils vont payer ?

En entendant la voix de son patron qui l'appelait, Mina perdit son sourire, ce qui ne passa pas inaperçu aux yeux du duo. La femme-lapin mit les macarons dans une serivette.

- Oui ! Oui !

Répondit distinctement la demoiselle en ayant l'air un peu nerveuse. Elle ce rapprocha d'un pas vif pour mettre le petit paquet dans les mains de l'ancienne directrice.

- L'adresse est marquée sur la lettre, filez à présent, je vous en prie, ça vaut mieux pour tout le monde !

"Euh... merci ! A plus tard !"

En temps normal, devant l'air précipité de la jeune femme, Haneko ce serait posée plus de questions, et l'aurait même aidée, mais puisqu'on avait pas à faire à la véritable Haneko, cete dernière s'en fichait presque de ce qu'il pourrait arriver à Mina. Après l'avoir remerciée, elle sorti du restaurant, Kyubi sur ses talons, et une fois sortis, elle retourna la lettre pour y lire l'adresse.

"Ah je vois, c'est une maison à la frontière entre les deux villes, ça va vite être fait"

Déclara Haneko en parlant à haute voix. Pendant ce temps, après avoir prit l'assiette vide, avec la facture déchirée, Mina, l'air nerveuse s'en alla retrouver son patron qui ce trouvait dans une petite salle à part, qui était prévue pour les repas d'affaires ou pour une réunion privée. Ernest, voyant l'objet, comprit très rapidement ce que son esclave pour s'occuper du petit problème. Ce croyant à l'abri des regards, il ne ce priva pas pour lui donner une claque mémorable, qui faillit lui faire lâcher l'objet en porcelaine.

- Je t'ai déjà dit quoi espèce de saloperie de rongeur ? Je t'ai dis que je ne voulais pas que l'on abdique face à un client difficile, et toi, comme à ton habitude, tu n'en as fait qu'à ta tête ! Enfin bon, ce n'est pas grave, ce n'est pas moi qui ne vait pas manger pendant une semaine afin de couvrir les frais de perte de ce menu ! Rend-toi utile et va chercher une chaise, il en manque une pour que les clients de ce soir puissent tous s'asseoirent !

Mina avait mal, elle serrait les dents, puis s'en alla faire ce qu'il lui avait demandé, car elle c'était préparée mentalement à ce qu'il réagisse de la sorte, donc elle n'était pas étonnée. Cependant, pour une fois, elle n'était pas triste, car elle avait enfin réussi à écrire une lettre, qui allait être postée, et dès qu'elle serait reçue, son calvaire prendrait enfin fin, ce qu'elle espérait de tout coeur.

La jeune fille était contente apparemment qu'ils acceptent de lui rendre service. C'est alors que le patron se met à l'appeler pour lui demander s'ils allaient payer et elle dit que oui. Elle lui répond positivement avant de leur demander de partir. Lio fut intrigué par son changement d'attitude. Il se lève et dit : "Très bien, merci encore".

Il sort du restaurant avec Haneko qui lisait la lettre et dit que la livraison se ferait vite vu où se trouvait cette maison. Le jeune mage hoche la tête avant de répondre : "Oui, surtout si j'y vais avec ma moto".

Il regarde le restaurant, repensant à la serveuse. Il regarde Haneko.

"Vous pouvez attendre une petite minute? J'ai une chose à faire, j'en ai pas pour longtemps".

Il s'éloigne, se rend dans une ruelle pour s'y cacher à l'abri des regards. Il entoure son corps de flammes bleus et roses et quand elles disparaissent, Lio paraissait beaucoup plus grand que d'habitude car il portait à présent une armure noire dont le casque ressemble à s'y méprendre à la tête d'un dragon avec des cornes et des dents acérées bleues cyan très brillantes, tellement que dans la ruelle sombre, elles se reflétaient bien. Les pieds ressemblent à des lames tranchantes et pointue, mais il ne semblait pas avoir de mal de marcher avec. Il sort de la ruelle et passe à côté de Haneko. Alors qu'avait il devait seulement faire une tête de plus que Haneko, maintenant, il devait faire dans les deux mètres de haut donc rien ne pouvait laisser penser que derrière cette armure se cachait Lio, personne d'ailleurs. Il entre dans le restaurant, sent la présence du patron et de la jeune fille dans une pièce et s'en approche et il entend alors un bruit de claque et le patron gronder la pauvre jeune fille. Le jeune mage se doutait que quelque chose n'allait pas. Et bien il allait se faire une joie de le corriger comme il se doit. Quand la jeune fille sort de la pièce, elle se cogne à Lio qui baisse la tête pour la regarder sans rien dire, il relève ensuite la tête pour regarder la porte. Il tend sa main et envoie un puissant jet de feu qui détruit la porte. Il entre ensuite dans la pièce.

"Toc, toc, toc".

Une fois sorti du restaurant, Lio demanda à ce qu'ils l'attendent, car selon ses dires, il avait quelque chose à faire d'important. Ce demandant ce que cela pouvait être, les deux amis hochèrent la tête. Ne sachant pas ce qu'il allait faire, la fille à l'oeil caché par un patch et par ses mèches de cheveux, trouva un petit muret pour s'y asseoir, tout en regardant son meilleur ami avec un air interrogateur.

"Tu crois qu'il fait quoi en ce moment ?"

> Bah, c'est un être humain, peut-être qu'il a eut besoin de ce soulager et qu'il ne savait pas comment te le dire.

"Je ne sais pas pourquoi, je l'imagine très mal avoir ce genre de soucis. En tout cas, il est mignon, hein ?"

> Ah c'est pour ça que...

"Non ! L'interrompit la miss en ayant l'air très sérieuse C'est juste parce qu'il a su comment s'y prendre pour devenir un bon camarade d'aventure, et je suis contente qu'elle ne soit pas totalement terminée

Haneko sourit en serrant la lettre, ayant l'air ravie que cette dernière lui permette de passer encore un petit peu de temps avec le jeune homme, qu'elle semblait respecter et apprécier. Pendant ce temps, le patron du restaurant faillit avoir une crise cardiaque lorsqu'il vit sa porte partir en cendres à cause d'un jeune homme en armure.

- Ma porte ! Elle venait à peine d'être refaite !

Erenest avait l'air à présent énervé, comme si cette stupide porte valait bien mieux que sa propre vie. Ce rendant compte que la personne qui venait de la détruire n'était pas humain, il eut soudainement l'air de réaliser qu'il allait avoir des problèmes, même bien qu'il allait erminer comme sa porte... Déglutissant difficilement, il tenta tout de même de garder la face.

- Vous me voulez quoi ?

Tandis qu'il lui posait la question, Haneko pu voir que tous les clients partaient précipitamment du bâtiment, comme si quelque chose leur avait fait peur. Il y eut aussi le personnel qui s'en alla, pensant plus à leurs vies qu'au fait qu'ils risquaient de ce faire engueuler par leur patron.

"Je ne sais pas ce qu'il est en train de faire, mais on dirait bien qu'il s'amuse !"

> Il aurait pu demander un coup de main.

"Oh c'est pas grave, toute façon, s'il ressort pas d'ici quinze minutes, j'envoie l'une de mes créations pour lui donner un petit avantage"

Pouffant tout deux comme deux affreux qui préparaient un mauvais coup, les deux compères attendaient la suite des opérations en restant à leur place. De son côté, Mina ce demandant pourquoi il y avait autant d'agitation, l'apprit à ses dépend en amenant la chase, comme lui avait demandé son patron. La lâchant en criant d'effroi, le patron eut presque l'air soulagé de la voir.

- Mina, ma petite chérie, tu tombes à point nommé ! Occupe-toi de ce truc et fait-le sortir avant qu'il ne détruise tout !!!¨

- Ce.... C'est... C'est peut-être un client, il faut être gentil avec....

- Mais non, pas du tout espèce d'écervellée ! Tu ne vois pas que c'est un démon qui va nous faire nous retrouver sans travail ! Tu ne voudrais pas qu'on ce retrouve sans emploi n'est-ce pas ? Tu sais très bien ce qu'il va t'arriver si on doit attendre la fin des travaux pour réouvrir le restau ! Tu ne voudrais pas ça, n'est-ce pas ?

- N...Non !

- Alors débrouille-toi pour nous en débarrasser !

C'est durant cet échange de paroles que l'on pouvait comprendre à quel point le patron était cupide. Il était aussi d'une grande cruauté envers son esclave, pensant qu'il avait tous les droits sur elle, ce qui expliquait la raiosn du contenu de la lettre de Mina. La pauvre était tétanisée, elle ne savait pas comment réagir, car elle n'avait pas envie de ce battre, et en même temps, s'il devait faire des reconstructions, il allait passer ses nerfs sur elle jusqu'à ce qu'ils soient terminés, et ne sachant pas si sa leettre allait avoir de l'impact ou non, elle avait peur de la suite des opérations, c'est donc pour cette raison qu'elle réfléchissait au lieu d'agir, ce qui semblait agacer son patron.

Le patron du restaurant semblait très en colère que Lio ait détruit la porte, mais il s'en moquait bien et bientôt lui aussi ne s'en souciera plus bientôt. Il entre dans la pièce en marchant tranquillement et il s'approche du patron du restaurant. Ce dernier faisait bien moins le fier que toute à l'heure et il lui demande ce qu'il lui voulait.

"Vous apprendre à mieux traiter les demoiselles".

C'est alors que la jeune fille revient en criant de peur et son patron se met à lui mettre la pression pour qu'elle affronte Lio. Ce dernier dit : "Il ne lui arrivera rien si je règle votre compte. Vous n'êtes qu'un gros lâche pour envoyer une frêle jeune fille faire la salle besogne. Apprenez que je n'ai pas besoin de vous toucher pour régler votre compte".

Lio claque des doigts et l'homme se retrouve avec le corps complètement recouvert de flammes qui le brûlent vivant.

Comprenant ce que cette créature désirait, bien qu'il ne faisait pas le fier, Ernest haussa un sourcil, ce demandant bien pourquoi cette horreur s'improvisait sauveur d'une cause désespérée.

- Elle est à moi, je lui parle comme je le désire ! Cela ne valait pas la peine de vous déplacer pour si peu !

C'est peu de temps après avoir dit son avis que tout s'enchaîna assez vite. En le voyant en train de ce faire carboniser, Mina poussa un cri d'épouvante, tandis que l'homme hurlait de douleur. Essayant de ce ressaisir, elle releva la tête pour scruter Lio.

- S'il vous plait, ne le tuer pas ! S'il meurt, le restaurant est perdu et son personnel avec ! C'est lui qui détient tous les papiers et nos contrats qu'il cache dans un endroit qu'on ne connait pas. Si on ne les a plus, je ne pourrais jamais finaliser ma demande pour changer de patron et reprendre la direction.

- Salope !

On pouvait croire, au début que Mina s'en faisait pour son patron, mais en faites, pas du tout. En entendant son plan, Ernest, entre deux-trois cris de douleurs, cria sa façon de penser à la demoiselle, qui, à ce qu'il venait de comprendre, ne lui était pas aussi fidèle qu'il ne le pensait.

Ernest était dans une sale posture. Il pouvait arrêter de ce faire maltraiter et humilier juste en donnant les informations que Mina désirait obtenir. Malheureusement pour lui, son entêtement risquait de lui coûter la vie, car il ne semblait pas être an accord avec les plans de la femme-lapin.

- Je préfère mourir plutôt que de laisser la main à une sale créature !

- Soyez raisonnable, je ne pense pas que ce soit de bonnes paroles à prononcer devant lui. Je sais que ce restaruant c'est votre usine à fric préféré, mais il y a un temps pour tout, et il est temps pour qu'il soit enfin plus qu'un gagne-pain facile ! Allez faites un effort, je sais qu'on peut arriver à trouver un terrain d'entente tous les trois !

Mina n'était pas étonnée qu'il ne veuille pas coopérer, cependant, elle ne voulait pas lâcher l'affaire, pas à présent qu'il y avait quelqu'un pour la soutenir. Après un long moment d'agonie, le patron fini par prendre la bonne décision, et reprit la parole, toujours avec la même voix faible que toute à l'heure à cause de la douleur.

- Le collier... Les indications... le médaillon... Tout a un sens, mais faut-il qu'une saleté comme toi réussisse à tout saisir

Mina le scruta avec un regard choqué. Ayant peur de comprendre ses propos, elle laissa apparaître son colleir d'esclave de sous son haut, et saisit le médaillon à son bout. Le faisant tourner plusieurs fois dans ses doigts, par un pur hasard, elle arriva à l'ouvrir après avoir fait plusieurs tentatives pour arriver à ce résultat, et en voyant ce qu'il y avait à l'intérieur, elle eut des yeux ronds, étant incrédule devant l'ingéniosité de son patron. Elle prit le papier plié en plusieurs fois, qui était tombé par terre, lorsque le médaillon avait été ouvert, puis tremblante d'excitation, elle le déplia et scruta ce qu'il y avait écrit dessus avec un regard fasciné.

- Quand je pense que tout ce que je désirais étais avec moi depuis une éternité ! C'est fascinant ! Désolée de ne pas vous avoir été fidèle plus longtemps, mais à présent, ces longues années de noirceur vont enfin prendre fin ! Maintenant.... Il peut mourir !

Tout en disant ces mots, elle rangea à nouveau les indications dans sa cachette, et elle remit le collier sous son haut, tandis que les larmes lui montaient aux yeux tellement elle était heureuse. Toutefois, elle ce ressaisit, et d'une voix dure et tranchante comme de l'acier, elle scella le destin du patron, qui avait l'air bien mal en point.

L'homme ne se montrait à du tout coopératif et quand il traite la jeune fille de "sale créature", Lio serre sa prise sur la gorge du patron du restaurant avant de dire : "Je vous conseille de vous montrer plus poli car j'ai les mains qui me démangent au son de certains mots".

Mina parvient alors à le raisonner car l'homme finit par donner des indices, mais quand il insulte encore la jeune fille, Lio lui brûle la tête avant d'éteindre les flammes et dire : "Tututut. Ce n'est pas que vous êtes lais que ça vous donne le droit de dire des vilaines mots".

La jeune fille trouve ce qu'elle cherchait et semblait contente. Elle finit par lui dire qu'il pouvait mourir. Lio regarde l'homme et finit par le lâcher, le laissant tomber en disant : "Non, il n'en vaut pas la peine. En plus, je l'ai bien défiguré à vie. Qu'il vive avec cette apparence aussi laide que lui il est à l'intérieur".

Mina avait un sentiment partagé en voyant comment Lio s'occupait de son patron. D'un côté, elle était horrifiée par la scène, et d'un autre, elle ce disait qu'enfin il comprenait ce que cela faisait de ce faire torturer. En le voyant lui brûler davantage la tête, elle avait l'air plutôt impressionnée par le résultat de cette nouvelle chirurgie esthétique faites sur un coup de tête. Malheureusement, la créature ne voulu pas tuer son patron, ce qui eut l'air de choquer la demoiselle.

- Sa nouvelle laideur ne l'empêchera pas de faire encore du mal autour de lui ! En plus, il a la police avec lui ! Si on les apellent, ils tenteront de retrouver le coupable au lieu de le boucler en prison !

En disant ces mots, ele était offusquée et en même temps, elle avait l'air d'avoir peur. L'homme, quant à lui, semblait être heureux que son calvaire soit terminé. Etant prêt de s'évanouir à tout instant, il ne pu s'empe^cher d'avoir un sourire à faire froid dans le dos.

- Je serais... ton cauchemar....

Dit-il très faiblement, avant de finalement tomber dans l'inconscience, tandis que Mina le regardait avec un regard à la fois dégoûté et horrifé

- Vous l'avez entendu ? Cependant, merci pour tout ce que vous avez fait pour moi, je vous serais éternellement reconnaissante.

Son air inquiet fini par ce transformer en un grand sourire reconnaissant, tandis qu'elle avait pour lui un regard admiratif. Pendant ce temps, Haneko ayant faisait un pierre, papier, ciseaux avec son renard à neuf queues, ce mettant à songer que le temps était beaucoup trop long à son goût, mais elle essayait tout de même de patienter encore quelques secondes.

La fille semblait totalement paniqué après que Lio ait annoncé qu'il n'allait pas tuer le patron du restaurant. elle explique qu'il aurait la police avec lui et qu'ils chercheront le coupable au lieu de l'enfermer. Le garçon portant une armure répond : "C'est moi le coupable et la police ne me retrouvera pas".

L'homme se met alors à le menacer avant de perdre connaissance, ce qui semble inquiéter encore plus la jeune fille avant que cette dernière le remercie. Lio lui répond alors : "Ce n'est rien. Pour ce qui est de cet homme, ce n'est rien d'autre qu'une pourriture et j'ai pas envie de me salir avec son sang sur les mains. Cependant, si vous avez peur tant que ça qu'il vous crée des ennuis, je sais comment veiller à ce qu'il ne fasse rien de fâcheux sans avoir à le tuer".

Il tend sa main et un portail en forme de triangle s'ouvre. On pouvait voir dans le portail un monde rempli champignons géants totalement désert. Il se saisit de l'homme, le jette dans le portail qui se referme après son passage.

"Voilà, sur ce, je vais vous laisser".

Il sort alors du restaurant et retourne dans la sombre ruelle. Il enflamme son corps, son armure disparaît et il retrouve sa tenue normal de civile. Lio retrouve alors Haneko et Kyubi qui semblaient jouaient à un drôle de jeu.

"Me revoilà, désolé d'avoir été long".

Ne sachant pas trop ce qu'il allait faire, Mina eut l'air intriguée lorsqu'il fit apparaître un portail. Scrutant ce qu'il y avait à l'intérieur, lorsqu'il s'ouvrit, elle pu constater que le monde où allait être envoyé le patron avait l'air totalement désert. Une fois qu'il fut jeté à l'intérieur, il dit que c'était une bonne chose de faite, et il commen4a à s'en aller.

- Attendez ! S'exclama Mina avant de courir vers lui pour lui faire un câlin Merci infiniment pour tout ! Vous êtes une bonne personne, je suis ravie d'avoir fait votre connaissance ! Quand le restaurant sera réouvert, revenez y manger, vous verrez, la qualité sera meilleur, et surtout, votre thé sera chaud.

Tout en lui faisant un clin d'oeil, elle le lâcha, puis elle le laissa partir. Dès qu'Haneko vit Lio sortir du restaurant, elle sauta d'où elle c'était assise avec un grand sourire.

"Super ! Vous voila enfin !"

S'exclama la jeune femme en ayant l'air vraiment contente de le voir. C'est ensuite qu'il s'excusa d'avoir été long, ce qui ne fit pas perdre son sourire à la demoiselle.

"Vous aviez sûrement quelque chose d'important à faire, d'ailleurs, je me demande bien ce que c'était. En tout cas, j'ai entendu pas mal de bruits venant du restaurant, c'est fou comme il est animé ! Du coup, vous êtes toujours partant pour poster la lettre ou vous préférez vous rendre à l'académie pour tenter de retrouver Thomas ?"

Lui demanda la demoiselle en ce demandant si entre-temps il avait changé d'avis ou bien, s'il était toujours partant pour faire le rôle du postier.

Lio commençait à quitter le restaurant sous le regard incrédule des clients qu'il ignorait complètement, se moquant bien de ce qu'ils pouvaient penser. Puis, il entend la jeune fille lui demander d'attendre. Il s'arrête et se retourne vers la jeune fille qui se jette sur lui pour le prendre dans ses bras en entourant sa taille de ses bras. Si Lio ne portait pas son armure, elle aurait entouré entouré ses épaules, mais en armure, il s'agrandissait beaucoup plus donc elle lui arrivait à la taille. Il baisse la tête pour la regarder, ne comprenant pas ce qu'elle faisait car dans sa famille, ils ne se faisaient pas du tout de câlins et il avait plus l'habitude de se faire craindre plutôt qu'on lui montre de la reconnaissance. La jeune fille le remercie de nouveau et lui propose de revenir manger, promettant une meilleur qualité et un thé chaud. Si Lio n'avait pas son casque qui dissimule son visage, on pourrait voir qu'il était surpris car il avait compris qu'elle semblait l'avoir reconnu et il se demandait bien comment. Enfin, il n'avait pas trop le temps de s'attarder là-dessus. Quand elle le lâche, il répond : "Je ne pense pas revenir, désolé. Au revoir".

Il tourne les talons et quitte le restaurant de nouveau, se rend dans la ruelle sombre et déserte pour retrouver sa tenue normale avant d'en sortir pour rejoindre Haneko et Kyubi, s'excusant de les avoir faire attendre. Haneko lui fait part de son interrogation au sujet de ce qu'il faisait.

"Ho...c'est un peu gênant d'en parler. Disons que j'avais une envie pressante".

C'est tout ce que Lio avait trouvé pour justifié son absence avant d'écouter ce que Haneko avait à lui dire au sujet du restaurant.

"Je ne sais pas ce qu'il s'est passé exactement, mais cela ne m'étonne pas que le patron est souvent des problèmes en vu de la qualité médiocre de ses prestations et de son manque de savoir vivre".

Haneko lui demande ce qu'il comptait faire.

"Je pense commencer par amener cette lettre, c'est la moindre des choses après ce que cette jeune fille a fait pour nous. Je me rendrais ensuite à Akatsuki retrouver Thomas. Je vous retiendrais pas plus longtemps, vous avez sans doute des choses à faire et moi aussi. Je pense que c'est là que notre route se sépare".

Il tend son bras devant lui et il y eut une grosse flamme rose et bleu qui se forme devant lui au sol et cette flamme se durci et se transforme en belle moto noire. Il monte dessus et tend la main vers Haneko.

"Je crois que c'est vous qui l'avez il me semble".

Sa façon de parler et sa voix lui disait quelque chose, ainsi que l'oduer et la chaleur de son corps, des détails qu'elle avait remarqué, et voulant être sûr qu'il s'agissait de la personne à qui elle pensit, elle avait brièvement glissé une information, et en le voyant partir, l'air pressé, Mina sourit en ayant la sensation que son instinct ne l'avait pas trompée sur l'identité de la personne qu'elle avait en face d'elle, mais après tout ce qu'il venait de faire, elle ne risquerait pas d'ébruiter ce petit secret. Haneko, lorsqu'elle revit Lio, lui demanda ce qui l'avait retardé, et il lui dit qu'il avait eut une envie pressante, ce à quoi Kyubi la scruta avec un regard triomphant, bombant même un peu le torse.

"Ah c'est bon ! Calme ta joie, c'est pas comme si tu avais gagné une médaille !"

> Peut-être, mais je suis content d'avoir raison.

Répondit Kyubi en étant content d'avoir le dernier mot. Quand Lio dit ce qu'il savait sur le restaurant, Haneko hocha la tête en ayant l'air d'accord avec lui. C'est ensuite qu'il lui fit comprendre qu'il voulait règler cette affaire seul, lui disant qu'elle devait sûrement être très occupée.

"Oh, vous savez, j'ai beaucoup de temps libre en ce moment. Enfin, je ne vous retiens pas plus longtemps."

En voyant la moto apparaître, Haneko et Kyubi avaient l'air émerveillé, semblant trouver cette moto magnifique, mais ils n'avaient pas le temps de l'admirer plus longtemps, car Lio demanda la lettre.

"Ah oui ! C'est vrai !"

Au moment même où elle voulait donner la lettre, elle ce figea en entendant une voix qu'elle connaissait très bien, c'était celle de leur nounou qui leur faisait bien comprendre qu'ils devaient rentrer à la maison.

"Elle peut toujours aller ce gratter si elle veut qu'on revienne, on en a pas du tout envie ! Tenez la lettre ! Donner une bonne correction à Thomas de notre part, et à bientôt ! J'espère qu'on ce reverra, j'ai passé une super journée avec vous ! Bye !"

C'est après avoir donné l'enveloppe à Lio que le duo ce mit à courir dans une autre direction en riant, ayant l'air bien décidé de mener la vie dure à cette pauvre Ingrind qui ne faisait que remplacer Kanashi, un boulot des plus fastidieux lorsque l'on connaissait le caractère improbable de la jeune femme dont elle tentait de s'occuper. Du côté de Lio, lorsque ce dernier trouva l'adresse, un jeune homme au regard sans vie et creusé de cernes, n'eut pas l'air choqué par l'arrivée de l'immense moto dans la cours extérieur de sa maison. Dès qu'il vit la lettre, qui portait l'écriture de Mina, son regard retrouva toute sa clarté, il semblait irradier de joie.

- Oh enfin des nouvelles de ma chère Mina ! Merci beaucoup ! Son patron ne lui laisse presque pas de répis, elle doit travailelr jours et nuits, elle doit ce cacher pour écrire ! Je lui ais déjà dit que c'était de l'esclavage, et qu'elle devait quitter ce boulot, mais elle m'a souvent dit que ce n'était pas possible, qu'elle ne pouvait pas ce permettre de trouver un autre travail. M'enfin bon, vous n'êtes pas venu pour que je vous raconte sa vie. Est-ce qu'il y a quelque chose qui vous ferait plaisir en échange de ce service ?

Demanda le jeune homme en ce rendant compte qu'il avait dévié du sujet principal, car ce qu'il ce passait du côté de son amie semblait grandement l'indigner, même s'il ne pouvait rien faire pour l'aider. Arborant un sourire chaleureux, il était prêt à tout lui offrir tellement il était heureux d'avoir une lettre de la femem-lapin, qui lui indiquait qu'elle n'était pas morte et qu'elle ne l'avait pas oublié.

L'homme n'eut même pas le temps de dire quoi que ce soit que Lio était déjà parti. Etant un peu surprit qu'il ait filé si vite, il haussa les épaules, puis il rentra chez lui. S'asseyant sur un vieux fauteuil rapé sur les côtés, il décacheta l'enveloppe avec une extrême prudence. Il laissa tomber l'enveloppe vide sur ses genoux dès qu'il eut attrapé la lettre, qu'il déplia avec précipitation, bien qu'il faisait toujours attention de ne pas l'abîmer. Dès qu'il pu en lire le contenu, son sourire s'effaça.

- Mon cher Bob Arthur, je suis sincèrement désolée de ne pas avoir pu t'écrire plus tôt, mais tu connais mon patron, je pense que tu comprendras pourquoi nous n'avons plus correspondu depuis trois ans. Au fil que les minutes défilaient, ma peine de ne plus pouvoir entendre ta douce douce voix que dans ma tête. Exerces-tu encore ton beau métier d'avocat ? Je me déméne comme je peux pour monter un solide dossier contre mon patron afin qu'il soit enfin jugé et que le restaurant m'appartienne. Tu sais, il y a des chaînes que l'on ne peut défaire, et celle de la peur était bien trop solides pour que ma langue ce délie... Je ne compte plus les jours et les nuits où je me suis faites torturée, lorsqu'il n'y avait pas de clients, de nombreuses manières différentes, les plus horribles les unes que les autres. Je ne voulais pas t'en parler, pas avant que mon projet n'aboutisse et que je trouve enfin le courage de te parler de mes plus terribles souvenirs. Mon dossier contre lui est bientôt terminé, mais il me manque encore quelques papiers, j'espère que tu peux mettre en sécurité ceux que je viens de t'envoyer ? Il n'y a qu'en toi que j'ai confiance. Merci beaucoup, j'ai hâte de pouvoir enfin faire les scènes que je m'imagine depuis des années dans ma tête, et j'espère que tu ne seras pas un songe ou une illusion lorsqu'on ce reverra, et que comme avant, tu me souriras, assit à la table 4 en attendant ton morceau de gâteau à la rhubarbe que tu affectionnes tant.
Signé, ta chère Mina qui crois en toi.

Dès qu'il eut terminé de lire la lettre, il fut obligé de la poser sur la vieille table en bois, qui ce trouvait à proximité, car l'émotion le gagnait sans qu'il ne puisse lutter. Lui qui n'avait plus pleuré depuis bien longtemps, versait des larmes de joies et de tristesses en comprenant enfin ce qu'il ce passait du côté de sa chère amie, et franchement, ces choses, il aurait aimé les comprendre quelques années plus tôt, car il pensait que si elle avait réussi à lui parler, il y a bien longtemps qu'elle serait hors d'atteinte des sales pattes de son sadique de patron.

De son côté, Haneko et Kyubi avaient tellement courru et zigzagé qu'Ingrind les avait perdu de vue, ce qui avait beaucoup agacé cette dernière. C'étant assurée, en scrutant par-dessus son épaule, que la voie était définitivement libre, la jeune femme ce mit à rire avant de marcher d'un pas plus tranquille, son renard à neuf queues faisant de même en ce calquant sur le rythme de ses pas.

> Et à présent, je suppose qu'une nuit à la belle étoile te tente

"T'es ouf toi ! Dormir dehors sans façon ! On va retourner à la maison des Fire et réfléchir à comment continuer de capturer des créatures pour le compte du boss. Ils ont pas besoin de cette baraque, en plus, ce sale morveux de Thomas est bien logé à l'académie, d'ailleurs, je me demande si après tout ce temps passé sans donner de nouvelles il serait bien de leur faire un petit cadeau, comme je sais si bien les faires"

> Flash-Info du jour, après de nombreux mois de tranquillité, l'académie Akatsuki vient d'être victime d'un attentat, on ce demande encore qui en est l'auteur !

Ce mettant alors à rire en choeur, le duo avait l'air d'avoir une très mauvaise idée. En attendant, dès qu'ils furent calmés, ils reprirent leur route en semblant avoir très envie de paufiner leur plan pour mettre un peu de zizanie dans ce bâtiment où pour le moment, elle n'était plus directrice.

HS : Voilà, ce rp est terminé, il peut fini aux archives ^^