Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi ? (Libre)

Cela faisait déjà trois jours que Gino était revenu de sa mission avec deux créatures assez mystérieuses et peu causantes, l'un parce qu'il faisait sa forte tête, et l'autre parce qu'elle ne répondait qu'à ses questions, ne semblant pas trop savoir quoi lui dire. Cependant, ne pouvant pas les renvoyer d'où elles venaient, car l'une avait toujours habité sur la terre, et l'autre parce qu'elle avait été créée par un humain, il passait son temps à les interroger, ce demandant de plus en plus si ces créatures pouvaient vraiment servir à quelque chose ou bien, s'il fallait les achever pour qu'elles ne causent plus de tords aux humains. Semblant songeur, Gino avait son coude appuyé sur son bureau, tandis que sa tête était penchée sur la paume de sa main, tandis que son autre main tripotait un stylo, le faisant tourner dans tous les sens, pendant qu'il réfléchissait, ce qui fait qu'il faillit avoir une crise cardiaque lorsque Ryo toqua à la porte et entra avec un air enjoué, semblant être content de lui avoir fait peur, alors qu'à la base, ce n'était pas le but. Gino, ayant lâché son stylo par terre, sorti de sa concertation avec lui-même, et ce baissa pour ramasser l'objet qui lui était très utile pour noter quelques informations qui lui serviraient pour son rapport. Une fois ceci fait, il ce tourna vers le jeune homme.

"Espèce de crétin, j'ai faillis y laisser ma vie avec tes âneries ! Tu serais perdu sans moi bambino, tu es encore trop jeune pour endoser le rôle du chasseur, de plus, tu n'es là que parce que je n'ai pas encore trouvé de vrai disciple ! Enfin bref, tu viens me voir pour quelle raison ? Je suis très occupé en ce moment !"

- Oh, c'est bon fait pas ta diva ! En plus, tu sais très bien qu'il t'en faut plus pour que tu nous quittes, et puis, me prend pas pour un enfant, ton rôle, je l'ai déjà usurpé pendant ton absence, alors je sais très bien ce que j'ai à faire, même si je ne suis qu'un remplaçant pour éviter que tu te tapes la honte devant Tenshirock, qui lui, a un vrai disciple... Enfin bref, je ne suis pas venu pour me disputer avec toi. Par contre, excuse-moi, mais là, en ce moment, t'a plus l'air d'être en stand-by que de faire un truc ultra important, donc je peux te déranger. En faites, je voulais juste savoir si tu t'étais enfin décidé à faire quelque chose de tes prisonniers, parce que si tu en as pas, j'ai une idée pour la fille

En entendant les remarques de Ryo, Gino fit plusieurs grimaces, lui faisant comprendre qu'il n'appréciait pas ce qu'il disait, tout en pensant que pour le fait qu'il ne faisait rien, c'était faux, il était juste en train de réfléchir à ce qu'il allait écrire. Il eut l'air intéressé lorsque le jeune homme ce mit à parler de la demoiselle.

"Non, j'étais encore en train d'y songer. C'est quoi ton idée ?"

- Bah, c'est très simple, tu pourrais la prendre comme apprentie chasseuse ! Après tout, elle a une apparence humaine et elle a été créée pour protéger et tenir compagnie à son ancien maître, elle pourrait nous être utile, tu en penses quoi ?

En entendant la réponse et la suggestion de son fidèle ami, Gino eut l'air songeur. Il réfléchit deux minutes, puis il soupira, avant de finalement reprendre la parole.

"Il faudrait que j'en parle à Altria, je ne peux rien faire sans son consentement, surtout pour une affaire aussi délicate. Je ne suis pas vraiment un fan de créatures, mais ton raisonnement est juste, de ce fait, je pense pouvoir faire un effort. Et pour l'autre ? Tu as une idée ?"

- Pff, je sais pas moi, je peux pas avoir tout le temps des idées ! Sert-toi-en comme punching-ball, il a une tête à claque, ça lui ira très bien comme rôle

"Allé, va remettre cette lettre dans le bureau de ta cheffe bien-aimée. Je viens d'y écrire une demande pour ce que tu viens de dire"

Gino, tout en écoutant la réponse du jeune homme, qui haussait les épaules, avant de parler, écrivait en même temps la suggestion de Ryo, ce servant du papier vierge sur lequel il était sensé écrire son brouillon pour son rapport. Trouvant l'idée du garçon nulle, fit bien exprès de ne pas relever les dires de son pote. Après lui avoir donné la lettre, Ryo partit, et Gigi, après quelques minutes de réflexions, fini par en faire de même, ce dirigeant ainsi en direction des prisons, qui, pour des prisons, étaient plutôt sympas, donc il pensait que le séjour chez les Purificateurs ne devait pas être trop éprouvant pour leurs pensionnaires, enfin c'était sa pensée, car lui, il n'était aps enfermé et n'était pas dans leurs têtes, donc il ne savait pas comment ils ressentaient les choses, et de ce fait, même s'il ne savait pas encore vraiment quoi faire de l'autre ahurit, il pensait que ce n'était pas grave s'il le faisait patienter.

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Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi ? (Libre) Sign_g10

Cela faisait depuis trois jours qu'il était enfermé chez les Purificateurs, et bien que sa prison ne soit pas aussi lugubre et inconfortable qu'il l'avait imaginée, il avait quand même hâte de retrouver sa petite vie d'avant, de plus, il commençait à en avoir marre de porter les menottes qu'on lui avait mises aux poignets pour qu'il ne puisse pas utiliser ses pouvoirs, car en plus de ne pas pouvoir ce transformer et griller ce sale Purificateur qui venait l'embêter tous les jours, elles bloquaient un peu ses mouvements, et ça l'énervait de ne pas pouvoir faire ce qu'il voulait. Le seul intérêt d'être ici était qu'il pouvait dormir autant qu'il le voulait, et ça, c'était super chouette.

*Au moins un truc de positif*

Pensa Fukano en ce levant de son lit pour s'asseoir dessus. Il soupira en scrutant son corps, qui était pleins de blessures à cause du fait que le Purificateur finissait par péter un câble au fait qu'il ne réponde pas à ses questions. En plus, il ne pouvait même plus parler à Hana, car elle avait été enfermée dans une pièce plus éloignée que la sienne, car elle avait très mal réagit au fait qu'il ce fasse frapper, et elle avait démolit le mur pour le protéger, du coup, il n'avait plus personne à qui parler. Il soupira, et pensant à la demoiselle, il ce mit à chantonner très doucement la chanson qu'elle aimait bien qu'il lui chante :

En chantonnant cette chanson, il pensait également à Gwen, qui devait sûrement ce faire un sang d'encre pour sa personne, ce qui l'agaçait encore plus de ne pas pouvoir foutre le camp de ce piège à rat. Lorsqu'il eut terminé sa chanson, il s'allongea à nouveau, ce mettant à ce demander ce qui allait lui arriver s'il ne coopérait pas.

*Il peut dire et faire ce qu'il veut, je l'aime pas, je lui dirais rien*

Songea Fukano en ayant un faible sourire au coin de ses lèvres. Pendant ce temps, Cynthia et Yae, ayant l'air désespérées de ne pas revoir leur frère, ce mirent à penser qu'il lui était arrivé quelque chose, alors ce souvenant de la description de ses rares amis, elles s'en allèrent à Akatsuki pour chercher de l'aide.

Hana s'ennuyait dans la pièce où elle était enfermée, car depuis qu'elle avait tenté de défendre son nouvel ami, elle en avait été éloignée, ce qu'elle ne comprenait pas vraiment, mais bon, le fait était le même, elle n'entendait plus sa voix à travers le mur, et le silence l'angoisait un peu, de plus, étant tout à fait lucide, des pensées sombres n'arrêtaient pas de tournoyer dans sa tête, ce qui ne l'aidait pas forcément à ce sentir bien.

*Je fais tout de travers en ce moment. Comment je peux faire pour me rendre utile ?*

Pensa la demoiselle en étant assise sur son lit, tout en fixant un point invisible, ayant les yeux dans le vague. Avec sa force herculéenne, elle aurait pu s'enfuir avec le garçon depuis longtemps, mais ne sachant pas où aller, elle avait préféré ne pas agir, de plus, pour le moment, le Purificateur était plutôt gentil avec elle, donc elle, donc elle ne savait pas trop comment réagir, de plus, depuis que Taichigiri était mort, elle ne savait plus vraiment quoi faire de sa vie, elle n'avait plus de but, de ce fait, elle pensait pouvoir encore attendre que l'on décide ce qu'on allait faire d'elle, même si le silence ne lui plaisait pas trop.

HS : J'ai fais exprès de poster déjà avec mes trois comptes, pour avoir un ressenti de la part des trois protagonistes. Vous pouvez donc rp à la suite si vous le désirez ^^

En ce dirigeant vers les prisons, Gino fit un crochet par les cuisines et demanda au chef une barre de chocolat, ce qui étonna ce dernier, car d'habitude, le chasseur ne venait jamais rien lui réclamer.

- Alors là, je dois dire que cette demande est très particulière venant de votre part.

"Je sais, mais j'en ais besoin pour mâter un jeune plutôt récalcitrant. Les coups, les menaces, la négociation, même mes blagues ne lui ont fait aucun effet, alors vous savez au bout d'un moment, faut tenter le tout pour le tout, sinon après on va dire que je fais du mauvais travail"

- Je ne connais pas votre humour, mais je pense qu'en tant que chasseur, vous devez être assez expéditif, et je trouve bien que vous essayez de jouer le rôle du vieux tonton gâteaux ahah. Allé bonne chance, je suis certain que vous allez assurer !

Après avoir comprit la motivation qui animait le templier, le cuisinier sourit et rit un petit peu, en ce moquant gentiment de Gino, tout en lui tendant ce qu'il lui avait demandé. Après l'avoir remercié, il ce remit en marche, pensant que du chocolat frais serait bien plus efficace que ses vieux biscuits qui traînaient dans sa casquette, comme il avait tort... Enfin bref, il ce disait que si avec ça, il ne pourrait pas avoir une discussion un peu moins à sens unique, et que si c'était toujours le cas, il lui en collerait une, car même s'il n'était pas violent, il détestait les créatures, et de ce fait, cela lui permettrait d'éviter de l'abattre comme un pigeon. Une fois vers les prisons, il prit un trousseau de clefs et ouvrit la porte de la cellule de Fukano, tout en accrochant sur la porte un petit panneau qui disait "Ne pas déranger, je m'en occupe". Ceci étant fait, il entra à l'intérieur et referma la porte, sans la verrouiller.

"Coucou ! Je t'ai manqué ?! Tu vas être content, aujourd'hui, je suis sympa avec toi. Si tu réponds à mes questions, et que tu es sages, je te donnerais du chocolat"

Peu de temps après, lui en avoir parlé, et avoir montré brièvement la tablette, qu'il remit dans sa casquette, il pu ce rendre compte que le phénix semblait être intéressé par ses dires, avant de faire à nouveau l'indifférent, ce qui fit sourire.

"Bon, dans ce cas, on va tenter, une énième fois, de tout recommencer depuis le début. Je veux savoir ton nom, prénom, âge, nationalité, et surtout, le plus important, ton lieu d'habitation. Je voudrais également savoir qui sont tes parents, si tu as des frères et soeurs, car pour éviter une catastrophe à la terre, c'est bien de savoir combien il y a de membres dans cette satanée famille et savoir où ils ce logent pour les retrouver plus aisément."

A la façon dont il posait les questions, on pourrait croire qu'il avait en face de lui un inspecteur de police, ce qui n'était pas le cas, car Gino faisait juste son travail et tentait d'obtenir le maximum d'informations afin de pouvoir débusquer ces sales bêtes.

"Lorsque je t'ai posé la question, tu m'as répondu "Dans ton ***". J'espère que cette fois-ci tu seras plus poli et plus précis. Je crois que tu commences à savoir ô combien j'ai horreur qu'un sale mioche me manque de respect, alors je te conseil de bien réfléchir avant de parler. Après, si tu es toujours motivé, tu me parleras un peu de toi, car ma patience arrive à ses limites, et si tu n'argumentes pas un peu les raisons qui m'empêcheraient de te tuer, tu risquerais bien de paser à la casserole mon poulet, de plus, avec ces menottes, tu ne peux pas revivre. C'est dommage, n'est-ce pas ? Allé ! Parle !"

Il avait retourné sa casquette et avait saisit les notes qu'il avait prises, puis il avait remit son couvre-chef sur sa tête, et après avoir regardé ses écrits, il lui avait fait une citation pour lui faire comprendre qu'il n'avait plus intérêt à mal lui parler. Tournant les pages pour arriver sur des pages vierges, il s'appuya contre un mur, et ce mit à fixer le jeune homme avec un regard très sérieux, ce qu'il espérait, qu'il comprendrait qu'il n'était plus temps de jouer avec ses nerfs. Attendant qu'il délie sa langue, il continuait à l'observer, s'arrêtant plusieurs fois sur les bleus qu'il lui avait fait, ce qui lui confirmait que les menottes bloquaient bien son pouvoir, car sinon, il y aurait longtemps qu'il ce serait soigné, enfin c'était ce qu'il pensait.

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Quand il entendit la serrure ce tourner, Fukano ce redressa, à nouveau, en soupirant, sachant très bien ce que cela signifiait, d'ailleurs, il l'avait entendu venir de loin, l'avait même senti, il savait très bien qui était en train d'arriver.

*Encore lui ! Comme d'habitude, il vient à heure fixe*

Pensa Fukano en grimaçant, semblant ne pas être enchanté de revoir Gino, qui ouvrit la porte et pénétra à l'intérieur de la pièce. Ce dernier lui demanda s'il était content de le revoir, ce qui fait que le jeune homme hocha négativement de la tête.

"Cette visite n'était pas nécessaire"

Dit-il d'un ton franc. C'est ensuite que l'homme lui présenta du chocolat, en disant que s'il était sage et qu'il répondait bien, il en aurait, ce qui au début, l'intéressa, mais en entendant cette condition, il détourna la tête en le snobant, étant bien trop fier pour s'abaisser à un tel chantage. C'est ensuite que l'homme ce mit à lui parler, lui posant les mêmes questions que les jours précédents, ce qui fit soupirrer Fukano, car cet interrogateoire l'ennuyait au plus haut point.

*Il croit vraiment que je vais balancer ma famille, c'est bien d'avoir de l'espoir*

Pensa Fukano, car même s'il n'aimait pas que ses parents et ses soeurs soient sur son dos, il n'allait tout de même pas les dénoncer, car il ne voulait pas qu'on leur fasse du mal. C'est ensuite que l'homme reprit la parole, le menaçant en ayant l'air bien sérieux, ce qui fait que Fukano ce mit un peu à transpirer, semblant avoir peur, car il ne voulait pas mourir, il ne voulait pas abnadonner Gwen, il ne voulait pas partir sans elle. Il ce ressaisit, puis il ce mit à scruter l'homme.

"Vous ne pouvez pas comprendre que je n'ai pas envie que vous et vos collègues touchiez à ma famille ? Elle n'est pas une source de menace. Mes parents, ils n'ont jamais rien fait d emal, surtout que mon père, il n'est même pas un phénix. Quant à mes petites-soeurs, elles sont innocentes, elles agissent comme des gamines de leur âge avec les mêmes rêves de princes charmants qu'une ado lambda, d'ailleurs, elle en a déjà un, mais elle ne sait pas où il est, parce qu'elle était prisonnière d'un vendeur au marché noir, et le garçon de son coeur s'est fait vendre avant elle, depuis elle le cherche, alors vous croyez vraiment qu'elle pourrait être un danger pour la terre ? Vous croyez vraiment qu'ils sont dangereux ? Le seul danger, ici, c'est vous !"

Fukano parlait le plus calmement possible, mais ça ce voyait bien que cela l'énervait de devoir parler de sa famille, d'ailleurs, plus il parlait, moins il perdait son sang-froid, et ça ce voyait bien, às on regad, qu'il avait vraiment envie de lui en coller une. Après s'être calmé, il reprit la parole.

"J'ai toujours vécu dans le coin le plus froid de ce pays, mes parents s'y sont installés pour qu'on aient plus d'espace. C'est quand j'ai pu volé de mes propres ailes que je suis parti de chez moi pour m'installer dans un coin le plus isolé. Je n'ai jamais été très sociable, et la foule me fou une angoisse pas possible, je dois faire beaucoup d'efforts pour me rendre au magasin, quand j'en ais vraiment besoin, et dernièrement, j'ai fais un truc de malade ! Je me suis rendu dans un lieu rempli de gens et... Et j'ai chanté pour la fille que j'aime ! C'était magique ! On s'aime, et c'est pour ça que je veux pas m'eteindre avant elle... C... C'est une humaine, elle est géniale ! Elle est habile de ses mains, elle protège la planète et elle aide sa mère à s'occuper d'un refuge pour animaux, et e'est pour ça que je dois me barrer d'ici au plus vite, elle va finir par s'inquièter, de plus, je suis stagiaire dans un bureau où je prédis le temps qu'il va faire, j'ai toujours été très doué pour ce domaine, d'ailleurs, pensez à prendre un parapluie si vous pensiez faire une balade après m'avoir refait le portrait, ça vous serait utile, il va pleuvoir dnas l'après-midi"

Fukano avait soudainement délié sa langue, en disant beaucoup, sans en dire trop, car il donnait des informations assez approximatives pour éviter que sa famille et Gwne aient des problèmes. Cependant, cela ne l'avait pas empêché de faire sortir un peu ses émotions, car il aimait beaucoup sa chérie, et il pensait ne pas pouvoir sortir meilleur arguments que celui de vouloir rester en vie parce qu'il aimait quelqu'un et que c'était réciproque, enfin s'il n'avait pa sun coeu rde pierre, son interlocuteur pourrait comprendre, et c'était pour cette raison qu'il jouait sur la corde sensible. Il fini par dire une dernière information, faisant même un peu de sarcasmes, tout en ce demandant si tout ce qu'il venait de dire allait suffire ou bien, s'il allait vraiment s'en prendre une, comme les autres jours.

Peu de temps après avoi été déposé la lettre dans le bureau d'Altria, Ryo piqué par la curiosité, s'en alla prendre une fleur séchée, qui n'avait pas encore été retirée d'un vase, et s'en alla vers les prisons. A voir le mot sur la cellule de l'autre excité, il ce mit à penser que Gino était déjà présent, ce qui ne lui fit ni chaud, ni froid, et sans dire quoi que ce soit, il prit le trousseau de clefs et ouvrit la cellule d'Hana. Cette dernière, qui était toujours prise dans ses sombres pensées, sursauta lorsque la porte s'ouvrit, puis en voyant qu'il s'agissait d'un jeune homme, elle le fixa intensémen.t

"Il me semble que l'on s'est déjà vu. C'est vous qui êtes venu en aide à l'autres asperge. Je n'ai pas aimé le coup en traitre avec la seringue"

Ce souvenant de son intervention pour la stopper, lorsqu'elle avait voulu aider Fukano, elle avait lancé un regard tellement noir à Ryo, que ce dernier ce mit à avoir un peu peur de la jeune femme.

- Je sais ! Désolé je ne le ferais plus, c'est promit ! Je... J'étais venu pour vous demander un service

C'était rare que Ryo ait aussi peur de quelqu'un. Tentant de ce ressaisir, on voyait bien qu'il stressait un peu, alors il lui présenta la fleur séchée. Hana soupira, fermant les yeux, avant de les ouvrir à nouveau, tout en scrutant ce qu'il lui montrait.

"Si vous voulez mon avis, il est trop tard pour penser à l'arroser"

- Oui, je suis d'accord... Euh... A ce qu'il parait, vous avez des pouvoirs en relation avec la nature. Dites, vous voulez bien me les montrer ?

Hana hocha la tête, puis elle prit la fleur. N'ayant aucun liens qui la retenait, elle approcha cette dernière, et elle ce concentra, puis une aura verte sorti de sa main, et subitement, la fleur commença à retrouver sa force et sa vigeur d'avant, ce qui impressionna Ryo, qui semblait être beaucoup moins tendu qu'avant, il semblait même très enthousiaste.

- Wahouhou ! Il est trop cool ce pouvoir ! Vous savez, ici, les gens qui travaillent n'aiment pas les créatures, mais vous, c'est difféerent, vous êtes une humaine améliorée, et je suis certain que tout le monde va vous adorer si vous travailler avec nous

Ryo ne pu s'empêcher de dire ce qu'il pensait, ce qui laissa songeuse la jeune femme, qui ce demandait ce qui était bien dans le fait de travailler avec des gens qui en emprisonnaient d'autres pour en faire après ce qu'ils en voulaient.

"E...Est-ce que mon ami faire la même chose ?"

- Non, lui c'est une pure créature, il ne devrait même pas exister.

Hésitant à poser cette question, la miss avait presque peur de la réponse, mais ce qu'elle entendit par la suite dépassa tout ce qu'elle avait imaginé. Sans réfléchir, elle donna un coup de poing à Ryo, qui fit un vol-planée hors de la pièce. Hana fulminait, elle n'avait pas du tout aimé ce qu'il venait de lui dire, car même si elle avait encore de la peine à prendre des initiatives et penser toute seule, il y avait des choses qui ne passaient pas, et en l'occurence, le fait qu'on parle mal de Fukano venait de l'énerver au plus haut point, car elle pensait tout le contraire de ce garçon qu'elle venait à peine de rencontrer, et qui pourtant, avait été très gentil avec elle, alors qu'il n'était pas obligé d'agir ainsi alors qu'ils ne ce connaissaient pas encore très bien.

Gino ce mit à ricaner en entendant la réflexion du phénix, qui lui faisait très bien comprendre que sa venue le dérangeait, mais ce n'était pas grave, au moins, il lui avait dit quelque chose de construcitf.

"Tant que tu ne m'auras pas dit ce que je veux savoir, elle le sera"

Répondit Gino d'un ton des plus confiant. C'est ensuite que le piaf de feu fit enfin sa confession, et alors qu'il allait le frapper, pour son manque de respect, il retint son geste, car son interlocuteur enchaîna, et tout ce qu'il dit, le laissa sans voix. Jusqu'à présent, il ne lui avait pas parlé autant. Cette fille qu'il aimait lui était bien utile, car il lui en permettait d'en savoir plus sur son jeune captif. C'est durant cet interrogeatoire qu'il ce remémora les heures les plus sombres de son passé, et de ce fait, il ne pouvait résoudre à le tuer, car il lui rappelait trop sa personne quand il était lui-même dans cette situation. Ah !!"Que faire ? Que faire ? Il ne pouvait pas le tuer, il ne pouvait pas le renvoyer dans son monde, quelle plaie ce gosse ! Maudissant le phénix en grommelant, dans la barbe qu'il n'avait pas, il ce disait pourtant que le relâcher n'était pas une option, car ce n'était point les moeurs de la maison. Ce grattant le menton, il était proie en un énorme dilemm. Après avoir soupiré, il reprit la parole.

"Et moi qui pensait que tu étais une créature malfaisante, bah t'es innocent ! C'est vraiment pas de bol !"

S'exclama rageusement Gino en sortant la plaque de sa casquette, qu'il lança au gaillard, qui le rattrapa malgré le fait qu'il avait des menottes aux poignets. Gino fulminait, faisant ensuite les cent pas, avant de s'arrêter pour scruter la créature avec un regard noir.

"Tu me dégoûte saloperie de piaf ! C'est le monde à l'envers si les créatures deviennent civilisées et que les humains deviennent les mécahnts de l'histoire en faisant uniquement leur travail ! Pourtant, un phénix, ça crache du feu ! Comment ça ce fait que tu n'aies jamais pensé à carboniser tout sur ton passage ?! Va pas me faire croire que t'es une oie blanche ! Il y a sûrement des délits que tu as commis, un truc qui n'est pas sensé existé n'est pas clean à cent pour cent ! Enfin bref, puisque je ne peux pas te relâcher dans la nature, faut bien que je te trouve une utilité"

Après avoir exprimé tout ce qu'il ressentait, il ce calma, aspirant et expirant plusieurs fois l'air pour éviter de péter un câble. Ayant à nouveau l'air perplexe, Gino sorti un jeu de carte de sa casquette, où il était écrit sur la boite "Skybo". Oui, cela pouvait paraître très surprenant de la part du chasseur, mais bon, puisqu'il ne savait pas quoi en faire, il pensait que cela l'aiderait à trouver une idée.

"Bon, j'ai pas vraiment besoin d'animaux de compagnies, mais en attendant, c'est le rôle que je vais te donner. Tu pourrais aussi me chanter des chansons, cela me divertirait également. Enfin bref, tu sais au moins jouer à d'autres jeux que d'aller chercher la baballe ? ça te parle ce genre de jeux ou pas ? En tout cas, si tu sais pas, c'est pas grave, j'ai le temps de t'apprendre à y jouer, enfin, si tes capacités intellectuelles sont assez développées pour comprendre les règles"

Gino faisait bien exprès de le tacler, car il ce sentait très inspiré pour embêter le jeune homme, et pour bien lui faire comprendre qu'à ses yeux, il n'était qu'une créature et pas un être humain, ce qui pourrait peut-être être blessé pour le phénix, mais il s'en fichait.

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Fukano soupira de soulagement, car il semblait avoir réussi à convaincre ce sale type, de plus, il ce fit récompenser. Etant content, il rattrapa la plaque, et l'ouvrit, pour y manger ce qu'il y avait à l'intérieur, ne semblant plus ce soucier de ce que disait l'homme, avant qu'il ne continue son monologue, qui, entre deux bouchées, le fit rire.

"Je ne le ferait pas croire, je suis un phénix"

Répliqua Fukano en riant à nouveau. C'est en mangeant à nouveau son choc, qu'il pu entendre l'homme lui poser à nouveau des questions, semblant ne pas comprendre ses motivations.

"C'est pas parce que je ne supporte pas la foule que je vais forcément tout cramer sur mon passage. Hé ! je suis pas bête ! Par contre, il m'est arrivé, une ou deux fois, d'avoir crâmé quelqu'un, qui comme vous, me menaçait très fortement avec une arme, ne voulant pas de ma présence, et perso, j'appelle ça de l'auto-défense."

Fukano dit ces mots en ayant l'air sérieux, tout en ayant une légère pointe d'arrogeance dans sa voix, lorsqu'il dit qu'il n'était pas idiot. Lorsqu'il eut mangé la moitié de la plaque, il la remballa, et la mit de côté, tout en scrutant l'homme, ce demandant ce qu'était la boite qu'il venait de sortir. C'est en entendant la suite des propos de l'humain, qu'il dit plusieurs fois "Hé", en ayant l'air indigné et vexé. Lorsqu'il eut terminé, Fukano lui lança un regard noir.

"Tout d'abod, je ne suis pas un chien, ensuite, je ne m'abaisserais jamais à de telles bassesses ! J'ai ma dignité, moi, monsieur ! Je n'ai jamais été très joueur, et je ne serais jamais l'animal de compagnie de qui que ce soit ! Je ne connais pas ce jeu, et je ne pense pas avoir envie de jouer avec quelqu'un qui me prend de haut."

Fukano lui avait répondu avec un ton très fier, semblant avoir vraiment été blessé par les propos prononcés par l'homme. Cependant, ce qu'il venait de dire l'inspira, et avec un léger rictus, il ce leva.

"Par contre, je suis ok pour une petite chanson"

Il le surprendrait peut-être, qu'importe, le plus important, était de détourner son attention. Il ce mit alors à chanter cette chanson :

Il avait apprit également cette chanson, sans ce douter que les paroles avaient un sens bien plus noir et profond qu'il ne l'imaginait. Pour lui, c'était simplement une chanson qui donnait la pêche et qui donnait envie de tout défoncer, sans ce retourner. Chantant alors sa petite chanson, il commença par tourner autour de Gino, pour ensuite, doucement, ce tirer ni vu, ni connu de la chambre, laissant ainsi le chaseur sans voix, surtout lorsqu'il lui ferma la porte au nez. Il chanta encore, tout en courant, jusqu'à ce qu'il retrouve l'endroit où était retenue son amie, ce qui fait qu'il arrêta de chanter.

"Hana ! Vient ! C'est notre chance ! On ce casse d'ici !"

Disant ces mots d'un ton pressé, et à la fois joyeux, Fukano resta sur place, quelques secondes, le temps qu'elle le rejoigne, puis ils ce mirent à courir tout les deux, dans les grands couloirs du QG des Purificateurs. Ils ne savaient pas trop où ils allaient, ce qui n'était pas grave, l'importance, c'est qu'ils trouvent un moyen pour s'évader du bâtiment.

Alors qu'elle était toujours énervée contre Ryo, Hana pu entendre une voix, qui lui fit tendre l'oreille, et la calma directement, la faisant même sourire, car elle était contente de l'entendre à nouveau.

*Il est venu me chercher ! J'étais certaine qu'il viendrait !*

Pensa Hana en ayant hâte qu'il arrive. Une fois que Fukano fut présent, il lui dit de venir avec elle, car ils allaient s'en aller d'ici, ce qui élargit d'avantage son sourire. Elle hocha la tête, ayant l'air d'accord avec ses propos.

"Je vous suis ! Par où allons-nous ?"

Après avoir dit ces mots, elle se mit à courir avec lui, et dans la foulée, elle lui posa cette question, à laquelle il ne répondit pas. Ils enjambèrent Ryo, toujours inconscient, Hana s'arrêta lorsque la sonette d'alarme s'enclencha, la faisant paniquer, tout en se bouchant les oreilles.

"Ahhhh que cela cesse !"

Tout en tenant ses oreilles, elle s'exclama. Repérant le haut-parleur, elle fit un saut, et attrapa ce dernier pour l'arracher du mur, avant de le broyer dans ses mains, ce qui fait que le son cessa, en tout cas, dans ce hall.

"Voilà, on peu continuer notre route ! Fukano reprenez-vous !"

Hana était toute contente d'avoir réussi à aider son ami, mais en le voyant complètement paniqué et tétanisé par la peur, elle lui donna une tape sur l'épaule, qui eut l'air d'avoir de l'effet. Pensant pouvoir repartir, elle pu constater que des hommes armés venait de débarquer. Comprenant très bien qu'il fallait qu'elle défende son ami, elle ne perdit pas de temps, et serra les feuilles de la fleur dans ses mains. Elle les avaient gardées, pensant que la fleur de Ryo n'en avait pas besoin, et que peut-être, cela pourrait lui être utile, et elle avait eut raiosn.

"Personne ne fera du mal à mon ami, je le jure sur ma vie !"

Après avoir dit très fortement ce qu'elle pensait, elle utilisa sa magie, et soudainement, les feuilles se mirent à scintiller, avant d'entourer son corps, une fois la lumière disparue, on pu constater qu'Hana était à présent entourée d'une armure et d'une épée solide, semblant être prête à en découdre.

"Approcher, je suis prête !"

Tout en disant ces mots, elle se dirigea vers les hommes, qui étaient étonnés, et un peu désorientés, car ils ne s'attendaient pas à un tel retournement de situation. Cependant, ils se ressaisirent, et étaient prêt à faire feu, pour tenter de mâter la résistance. Hana, elle, ne semblait pas prête à reculer. Un grand combat allait avoir lieu dans les couloirs des Purificateurs.

Gino n'aimait pas trop qu'il ce moque de lui en faisant un jeu de mot en relevant le nom de l'oiseau qu'il avait cité. En temps normal, il l'aurait sûrement bien prit, mais là il n'aimait pas trop que cette saleté de créature ce paie sa tête. C'est ensuite, lorsqu'il répondit à sa question que Gino fronça les sourcils, semblant ce demander de quoi il voualit parler.

"Tu insinues quoi ? Que devant un tribunal, la raison pour laquelle tu aurais cramé une personne comme une vulgaire saucisse serait un motif suffisant pour clamer ton innocence ? ça ne fonctionne pas comme ça bambino, la loi puni toujours les malfrats et à l'heure qu'il est, tu devrais être déjà être en prison..."

S'énervant un peu contre les propos du jeune phénix, il sorti son pistolet de son étuit, ce mettant à braquer la bête humaine,q u'il avait en face de lui.

"Normalement, un chien qui arrache un bras à un enfant, on l'endort, je me demande bien ce qui me retient encore de t'abattre espèce d'erreur de la nature !"

Après avoir entendu les propos de son prisonnier, il rangea son arme. Redevenant calme, Gino s'amusa à taquiner le jeune flamboyant, qui était vraiment très impulsif, et surtout très indiscipliné. Dès qu'il eut terminé de protester, Gino sorti à nouveau son arme.

"Tu es vraiment sûr de ne pas vouloir t'amuser avec moi ?"

Remarquant que les menaces faites avec son arme fonctionnaient très bien pour le faire obéir, il s'en servait à nouveau, et comme par un pur hasard, le phénix changea d'avis, ce qui arracha un sourire au chasseur, qui faillit en rire.

"Ah ! Parfait ! Décidément, ne pas pouvoir renaître à cause de tes menottes qui te prive de tes pouvoirs te rend très coopératif mon cher"

Il sourit en disant ces mots, puis quand il s'exécuta, il le fixa et l'écouta très attentivement, mais lorsqu'il s'en alla, Gino en resta baba. Il ne s'attendait pas à ce qu'il lui fasse un coup pareil.

"Non ! Il a osé ! Quelle sale bête ! Il va voir de quoi je suis capable si je le choppe !"

Gino n'était pas du tout content, et il valait mieux pour Fukano qu'il ne le ratrappe pas. Dès qu'il fut sorti de la pièce, il alla à la recherche du gamin, et dès qu'il retrouva les deux fuyards, il tira en la'ir pour calmer tout le monde.

"Merci pour votre aide, vous pouvez retourner à vos occupations, je me charge du reste. Je ne voudrais pas que l'un d'entre vous soit blessé. Allé ! Du balai !"

Etant très insistant, la sécurité du QG s'en alla, un peu à contre-coeur, car ils avaient peur qu'il arrive quelque chose au Templier, mais ce dernier avait l'air sûr de lui, donc ils ne pouvaient que le laisser faire. Une fois qu'ils furent seuls, il s'avança vers la jeune femme.

"Vous, vous connaissez à peine et tu es déjà prête à tout pour protéger cette perte de temps ? Très bien, j'admire... En effet, ce qu'a dit Ryo à ton sujet semble juste, et je pense que peut-être tu pourrais avoir une place en tant qu'apprentie. Cependant, notre rôle consiste à exécuter ou à ramener les créatures dans leur monde d'origine. ici il n'y a pas de place pour les amitiés envers des créatures, alors soit tu l'oublies, soit tu le tues, je ne reviendrais pas sur ma décision, mais ce qui est sûr, c'est que vous ne vous en sortirez pas vivant tous les deux de ce QG, il faudra faire un choix."

Il parlait à Hana avec un ton très sérieux, d'ailleurs cela ce voyait même à son regard qu'il ne plaisantait pas et qu'il allait mettre à exécution sa menace. Lui laissant tout de même quelques minutes de réflexion, tandis qu'il gardait un oeil sur Fukano, s'attendant à ce qu'il lui fasse un coup de trafalgar, comme avant.

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HS : J'inverse les deux tours, car ça sera plus simple pour comprendre la suite ^^

Quand Hana entendit un coup de feu, elle ce stoppa dans son élan, semblant même ce figer sur place à cause de la peur, car le côté animal qui avait servit à sa création semblait avoir prit le dessus durant quelques secondes. En voyant Gino arriver, elle eut l'air d'avoir moins peur, mais elle restait sur ses gardes, le scrutant avec un regard méfiant.

"Je vous déconseille vivement d'approcher"

Disant ces mots en ayant les dents un peu serrées, on pouvait voir qu'elle restait dans son mode de protection. Cependant, en le voyant renvoyer tout le monde, elle comprit qu'il voulait ce charger seul de leur cas pour éviter qu'il y ait des blessés, et ce geste, elle trouvait ça bien de sa part. Le voyant ensuite s'approcher d'elle, la miss continuait otut de même de le regarder avec le même regard, jusqu'à ce qu'il ce mit à lui parelr. Ayant toujorus du mal à prendre des décisions, elle agit en ce disant que son ancien propriétaire lui aurait sûrement dit de faire ainsi, que cela serait mieux pour tout le monde, et d'ailleurs, elle était du même avis, ce qui fait qu'elle fit disparaître son armure et son épée, semblant être prête à faire ce qui lui semblait être le plus juste.

"Dans ce cas je sais ce que je vais faire"

Elle ce tourna vers Fukano, puis elle s'approcha de lui en lui faisant un sourire, tentant de le rassurer de cette manière, puis lorsqu'elle fut très proche, elle posa ses mains sur ses menottes, le scrutant comme si elle voulait lui dire quelque chose d'intense, laissant penser à un au revoir déchirant, mais ce ne fut pas le cas, car sans prévenir, elle mit ses maisn de façon à arracher ses menottes, puis elle les jeta plus loin.

"Allé ! Filez ! Vous m'aviez dit vouloir retrouver une certaine fille, c'est bien ça ?! C'est le moment pour le faire !"

Le peu de temps qu'ils avaient pu ce parler à travers les murs, il lui avait un peu raconter qu'il était amoureux d'une fille, et qu'il ferait toujours tout pour la retrouver, alors Hana pensait que c'était le moment de le faire.

"Qu'est-ce que vous attendez ? Allez-vous-en tout de suite !"

Elle lui dit ces mots avec un ton presque autoritaire, tout en lui faisant un regard à faire des cauchemars, mais c'éait pour son bien, elle ne voulait pas qu'il reste coincé ici alors qu'il avait encore pleins de choses à faire hors de ces murs.

Fukano, en entendant Gino lui dire que son argument, devant un tribunal, ne passerait pas, et qu'à l'heure qu'il était, il devrait déjà être en prison, ce qui le fit simplement hausser des épaules, semblant s'en foutre de ce qu'il venait de dire.

"Vous dites ça parce que vous n'aimez pas les créatures"

C'est ensuite que l'humain s'énerva, et le braqua avec une arme, ce qui commença à le faire doucement flipper. En l'entendant lui demander qu'est-ce qui pouvait faire en sorte qu'il évite de le tuer, ce qui ne laissait pas beaucoup de temps au phénix de réfléchir.

"Euh, je ne sais pas... Cependant... Je... Je pense que... Que vous ne pouvez pas faire une chose pareille parce que... Parce qu'avant vous aviez l'air touché par mon histoire Vous, vous en souvenez ? Vous aviez l'air tout ému quand je vous ais parlé de la fille que j'aime. Souvenez-vous des émotions que cela vous a procuré, je suis certain qu'on peu encore en discuter... Euh... Une petite prévision de météo ? Dans quelques minutes, il pleuvra de la pluie rouge si vous appuyez sur la détente... En ce qui me concerne, je trouve que ce n'est pas un bon temps à commettre un meutre, vous n'êtes pas d'accord avec moi ?"

Après avoir dit tout ce qu'il lui passait par la tête, Fukano ce mit à songer qu'il était très chanceux, car l'humain n'eut plus envie de le tuer, mais plutôt de joeur avec lui, ce qui était presque une bonen chose, mais en l'entendant mal lui parler, il n'avait pas pu s'empêcher de réagir sans réfléchir. Une fois aux côtés d'Hana, il fut paralysé par l'alarme, il ne pouvait plus bouger, et cela malgré que la fille lui dise d'avancer. Le vovyant térrorisé, elle le protégea, et en la voyant faire apparaître sa tenue, il eut l'air émerveillé. Gino intervint, et le coup de feu le fit sursauter. Une fois qu'ils furent seuls, le chasseur donna un ultimatum à son amie.

"Quoi ? Vous lui demander de choisir ? Vous êtes vraiment ignoble ! Laissez-la tranquille et laisez-nous partir !"

Il dit ces mots avec un ton énervé, car il en avait marre qu'il leur mette des bâtons dans les roues. C'est par la suite qu'hana fit son choix, et en la voyant s'approcher, il eut l'air surprit, car il ne comprenait pas trop ce qu'elle comptait faire. C'est lorsqu'il fut libre qu'elle lui demanda de partir.

"Oui, mais... Et toi ? Hana, je ne peux pas t'abandonner !"

Dès qu'il protesta, elle lui fit un regard à faire peur à un squelette, mais Fukano était bien décidé à ne pas partir sans elle, alors dès qu'il pu à nouveau cracher du feu, il en cracha tout autour de lui, puis il prit le poignet de la demoiselle et l'entraîna avec lui. Une fois à l'extérieur du bâtiment, il pu voir que la jeune femme était blessée, ce qui l'inquiéta.

"Oh non ! Hana ! Ne t'en fait pas, je vais t'emmener voir quelqu'un qui sera capable de te soigner. A présent, on est libre, tu n'as plus rien à craindre !"

Après avoir dit ces mots, il fit apparaître ses ailes et s'envola avec la jeune femme, voulant l'ammener chez ses parents afin qu'ils s'en occupent.

Quand Fukano avait tenté d'argumenter pour sauver sa peau, Gino avait fini par émettre un petit ricannement, semblant être amusé par le débit de parole que pouvait avoir ce fichu volatile lorsqu'il ce sentait obligé d'alligner plusieur smots cote à cote pour en faire de bonnes phrases. Pensant alors qu'il aurait peut-être dû s'amuser à le menacer bien plus tôt, le chasseur dû quand même avouer que cet étrange animal l'amusait beaucoup quand il prenait la peine d'ouvrir son bec et son coeur pour exprimer ouvertement ce qu'il ressentait. Lorsqu'il eut retrouvé les deux fugitifs, quelques minutes plus tard, il obligea la jeune femme à faire un choix. La demoiselle ne semblait pas trop comment s'y prendre pour faire le meilleur choix et tentait de réfléchir tandis que le flamboyant ne ce gênait pas pour dire sa façon de penser.

"Silence sombre idiot, ce n'est pas à toi que je m'adresse ! Hana deviendra une Pacifique ou vous fera plonger tous els deux dans les limbes de l'enfer. Inutile de vouloir changer votre destin, ma décision est prise et je ne reviendrais pas en arrière ! Alors ?"

Il leur aboyait dessus en gardant un air sévère, semblant avoir perdu patience et ayant sûrement envie que toutes ces mésaventures ce terminent afin de pouvoir enfin passer à autre chose. S'attendant à ce qu'Hana choisisse de s'enfuir avec cette tête brûlée, il fut agréablement surprit quand elle lui fit comprendre par un geste qu'elle voulait rester ici. Le phénix n'avait pourtant pas l'air d'approuver sa décision

"Tais-toi donc et fait ce qu'elle te dit ! A présent, je ne peux plus t'abattre, alors profite-en pour t'échapper, cela fera même un très bon exercice pour Hana que de devoir te rattraper pour progresser dans sa nouvelel formation ! Hein ? Qu'est-ce que tu fais ?! Non !"

Gino, ayant soudainement le regard fier en fixant l'expérience. En ce plongeant dans son regard, on pouvait ce rendre comtpe qu'il croyait avoir trouvé le disciple parfait qui lui permettrait d'assurer la succession de son poste en surpassant son art et en devenant un templier célèbre. Malheureusement tous ses espoirs s'évaporèrent lorsque le phénix cracha du feu un peu partout. Par réflexe, Gigi visa et tira, mais par malchance, il tira sur son apprentie, qui ce faisait enlever par l'oiseau rare afin de la tirer de ses griffes. Impuissant, l'humain reconverti sa casquette en masque protecteur jusqu'à ce que les détecteurs d'incendies ce mirent en route et déversèrent sur le feu ravageur toute leur eau salvatrice. Gino, dépité s'en alla dans le bureau d'Altria et reprit la lettre, la rangeant précieusement dans une des poches de sa veste avant de partir dans sa chambre pour écrire un rapport où pour une fois, il ne passerait pas pour un héro, mais plutôt pour un homme presque ordinaire qui avait été trop gentil à son goût. Ce jurant que la prochaine fois il lui ferait payer son affront, Gino réfléchit aux excuses qu'il allait sortir à ses collègues pour ne pas paraître trop ridicule devant eux lorsqu'ils lui poseraient des questions.

HS : Voilà ce rp est terminé, il peut être archivé ^^

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» Un semi-démon bien décidé à faire parler de lui !
» Un colis dont on ce serait bien passé (Libre)
» Je m'en vais !
» Rien de bien méchant
» Bien le bonjour, merci de cet accueuil.